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30 avril 2024

Mois de Marie avec Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

 

Mois de Marie avec Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

 

 

Premier jour

Gloire de Marie sur la terre

 

C'est par la très sainte Vierge Marie que Jésus-Christ est venu au monde : c'est par elle qu'il doit régner dans ce monde (Tel est l'abrégé de tout le Traité de la dévotion à Marie).

 

I. Marie, a été très cachée dans sa vie : c'est pourquoi elle est appelée par le Saint-Esprit et l’Église alma Mater, Mère cachée et secrète. Son humilité a été si profonde, qu'elle n'a point eu sur la terre d'attrait plus puissant et plus continuel que de se cacher à elle-même et à toute créature, pour n'être connue que de Dieu seul. Dieu, pour l'exaucer dans les demandes qu'elle lui fit de la cacher, de l'appauvrir et de l'humilier, a pris plaisir à la cacher dans sa conception, dans sa naissance, dans sa vie, dans ses mystères, dans sa résurrection et son assomption à l'égard de toutes les créatures humaines.

Dieu le Père a consenti qu'elle ne fît point de miracle pendant sa vie (du moins qui éclatât) quoiqu'il lui en eût donné la puissance ; Dieu le Fils a consenti qu'elle ne parlât presque point, quoiqu'il lui eût communiqué sa sagesse ; Dieu le Saint Esprit a consenti que les Apôtres et les Evangélistes n'en parlassent que très peu, et qu'autant qu'il était nécessaire pour faire connaître Jésus-Christ, quoiqu'elle fût son Epouse fidèle.

 

II. Toute la terre est pleine de sa gloire, particulièrement chez les chrétiens, où elle est prise pour tutélaire et protectrice en plusieurs royaumes, provinces, diocèses et villes, où beaucoup de cathédrales sont consacrées à Dieu sous son nom. Il n'y a point d'église sans autel en son honneur ; point de contrée où il n'y ait quelqu'une de ses images miraculeuses, où toutes sortes de maux sont guéris et toutes sortes de biens obtenus ; tant de confréries et de congrégations sont fondées sous son nom, tant de confrères et de sœurs de toutes les confréries, et de religieux et de religieuses qui publient ses louanges et annoncent ses miséricordes !

 

Il n'y a pas un petit enfant, qui, en bégayant l'Ave Maria, ne la loue ; il n'y a guère de pécheur qui, dans son endurcissement même, n'ait en Elle quelque étincelle de confiance ; il n'y a pas même de démon dans les enfers qui, en la craignant, ne la respecte.

 

III. Enfin le pouvoir de la très sainte Vierge dans l’Église de la terre est aussi merveilleux. L'amour de Jésus-Christ pour Marie étant le vrai principe du pouvoir qu'Elle exerce, Jésus met tout son plaisir à lui procurer ici-bas du bien et de l'honneur, et à la voir jouir de tout ce qu'il peut lui communiquer.

 

Étant Seigneur du monde entier, il la met en possession pleine de tout ce qu'il a et de tout ce qu'il est, et en Elle, il possède toutes choses avec plus de plaisir que s'il ne les possédait qu'en soi-même personnellement. Aussi en lui la puissance de Marie s'étend sur toutes les créatures.

 

Pareillement, en qualité d'Epouse du Père éternel, Elle a également auprès de lui par ses prières tout pouvoir au ciel et sur la terre. Il veut ce qu'Elle veut ; il fait du bien à qui Elle désire qu'il en fasse ; Elle n'a qu'à vouloir, et toutes choses sont faites. C'est ce qui explique la puissance de Marie parmi les hommes dans les miracles et les merveilles de tout genre qu'Elle opère en leur faveur. Ce pouvoir de Marie comme Epouse de Dieu se mesure sur la toute-puissance divine dont l'usage lui est abandonné pour toutes sortes de biens.

 

Ainsi, Elle est toute-puissante pour tout accorder, et, de fait, Elle exerce son pouvoir à chaque instant dans l’Église de Dieu pour la conversion des pécheurs ou la sanctification des justes. Et, ce qui est le sujet de ma confiance, ce n'est pas seulement son grand pouvoir, mais encore sa bonté, sa douceur, sa piété qui ne savent rien refuser à personne.

 

La Sainte Vierge est parmi nous la dispensatrice universelle, des mains de laquelle toutes choses partent, et qui donne et distribue à chacun selon son besoin. Elle a les bras ouverts à tout le monde ; Elle est comme une reine régente sur le trône de Dieu, comme une nourrice pour les âmes rachetées du sang de Jésus, comme un océan fécond en libéralités. Elle est le paradis d'où sortent les quatre fleuves qui vont arroser toute la terre ; c'est, enfin, un trésor qui contient toutes les richesses de Jésus-Christ, c'est-à-dire tous les trésors de Dieu le Père. Approchons donc avec confiance de ce trône de grâce avec une foi parfaite aux bontés adorables et aux charités de Dieu pour la très sainte Vierge en faveur des pécheurs.

 

Histoires

 

Le Traité de la dévotion à la Sainte Vierge que nous voulons surtout faire connaître, a été enseveli et inconnu pendant cent vingt-six ans. Le Bienheureux l'avait prédit en ces termes : « Je prévois bien des bêtes frémissantes qui viennent en furie pour déchirer de leurs dents diaboliques ce petit écrit, et celui dont le Saint- Esprit s'est servi pour l'écrire, ou du moins pour l'ensevelir dans le silence d'un coffre afin qu'il ne paraisse point ».

 

Pendant la Révolution de 93, les deux Congrégations fondées par le Père de Montfort, prévoyant l'incendie qui dévorerait leur asile, cachèrent tous leurs papiers dans les fermes voisines. Ils y restèrent enfouis dans la poussière, et plusieurs devinrent indéchiffrables. Ceux qui se conservèrent furent mis, les uns à la bibliothèque de la Sagesse, les autres à celle du Saint-Esprit. Parmi ces derniers se trouvait le Traité de la vraie dévotion. Un missionnaire de la Compagnie de Marie, en 1842, ayant, comme par hasard, mis la main sur ce manuscrit, voulut le lire pour préparer, un sermon sur la Sainte Vierge… En comparant l'écriture avec d'autres manuscrits authentiques, tels que la Règle des Sœurs et celle des Missionnaires, les Pères de Saint Laurent et les experts reconnurent facilement l'écriture du fondateur. C'est d'ailleurs un travail facile : l'écriture du P. de Montfort est non-seulement tranchée, mais parfaitement identique à elle-même.

 

Dieu, pour notre époque, a permis cette précieuse découverte pour sa plus grande gloire et celle de Marie.

 

Le bouquet de Marie

 

Au mois de mai 1856, un petit vaisseau marchand mettait à la voile à Marseille en destination de la Chine et des mers du Japon. Jusqu'au dernier moment, une barque était restée près du navire ; elle portait un jeune aspirant, tout nouveau sur le rôle de l'équipage, et sa mère qui lui disait un long adieu. Quand le jeune homme fut monté sur le pont du vaisseau, il se pencha vers la barque et envoya un dernier baiser. Celle-ci alors, saisissant un bouquet que la veille ils avaient cueilli ensemble pour le placer sur l'autel de Marie, le lui jeta en disant au milieu de ses larmes : « Prends, cher enfant ; c'est l'adieu de la Sainte Vierge ; je suis allée ce matin le lui demander comme un gage que tu me reviendras. Conserve-le, elle ne t'abandonnera pas ».

 

Et la mer froide et houleuse séparant les deux barques, sépara les deux cœurs.

 

Des jours et des nuits, des calmes et des orages passèrent lentement sur la tête du jeune marin. Le bouquet, dont chaque feuille desséchée avait été pieusement recueillie, reposait dans une cassette entre le portrait de sa mère et un petit crucifix béni. Chaque soir, quand l'heure du repos était arrivée, une visite était faite au souvenir des deux mères. Une prière, une larme consolait le voyageur, et il s'endormait tranquille comme autrefois dans son berceau.

 

Le voyage fut long et rude ; l'enfant devint homme, le novice devint marin, l'aspirant devint lieutenant. Trois ans plus tard, encore au mois de mai, une bonne dame, agenouillée dans un coin à la chapelle de Notre Dame de la Garde, présentait en pleurant à la Sainte Vierge un petit rameau détaché d'une tige de rosier, tout desséché et noirci par le temps. Elle entendait une messe dite à son intention. Quand le sacrifice fut achevé, elle se leva en chancelant et s'approcha de l'autel pour y déposer son petit rameau flétri. Au même instant, une main brûlée par le soleil s'étendit à côté de la sienne, et plaça à côté du rameau un bouquet desséché aussi et fané, et une voix, bien vite reconnue, dit à son oreille : « Mère, voilà votre souvenir ! » Derrière son fils étaient douze matelots (son équipage) apportant, en ex-voto, un mignon petit navire avec ces mots inscrits sur la grande voile : « A Marie, étoile de la mer, l'équipage du Bouquet, sauvé d'un typhon dans l'archipel de la Sonde ». La Sainte Vierge n'avait pas laissé périr son bouquet. On ne périt jamais quand on est fidèle à son souvenir (J.-B. D'Auriac).

 

Pratique : Pendant les exercices de ce beau mois, chantez avec ferveur et joie les louanges de Marie. - À la fin de l'exercice, mettez-vous à genoux devant son image, en union avec l’Église, pour faire hommage à sa grandeur de tout ce que vous avez et de tout ce que vous êtes. Respectez et agréez la part que Dieu donne à sa Mère de sa royauté sur vous. Dites-lui qu'elle est votre véritable Reine et que vous voulez lui appartenir à jamais.

 

 

Ô Marie, régnez sur nous !

 

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29 avril 2024

Mois de Marie avec Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

Mois de Marie avec Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

 

 

Veille du premier jour

La grâce est nécessaire pour devenir saint : le moyen de l'obtenir, c'est Marie

 

I. Âme, image vivante de Dieu et rachetée du sang précieux de Jésus-Christ, la volonté de Dieu sur vous est que vous deveniez sainte comme lui dans cette vie, et glorieuse comme lui dans l'autre. L'acquisition de la sainteté de Dieu est votre vocation assurée, et c'est là que toutes vos pensées, paroles et actions, toutes vos souffrances et tous les mouvements de votre cœur doivent tendre, ou bien vous résistez à Dieu, en ne faisant pas ce pour quoi il vous a créé et vous conserve maintenant. Oh ! quel ouvrage admirable ! la poussière changée en lumière, l'ordure en pureté, le péché en sainteté, la créature en son Créateur et l'homme en Dieu ! Ouvrage admirable, je le répète, mais ouvrage difficile en lui-même et impossible à la seule nature. Ô âme, comment feras-tu ? Quels moyens choisiras-tu pour monter où Dieu t'appelle ?

Les moyens de salut sont connus de tous : ils sont marqués dans l'Evangile, expliqués par les maîtres de la vie spirituelle, pratiqués par les saints, et nécessaires à tous ceux qui veulent se sauver et arriver à la perfection. Pour pratiquer tous ces moyens de salut et de sainteté, la grâce de Dieu est absolument nécessaire, et cette grâce est donnée à tous plus ou moins grande : car Dieu, quoique infiniment bon, ne donne pas la grâce également forte à tous, quoiqu'il la donne suffisante à chacun. L'âme fidèle, avec une grande grâce, fait une grande action, et avec une faible grâce fait une petite action : le prix et l'excellence de la grâce donnée par Dieu et suivie par l'âme font le prix et l'excellence de nos actions. Tout se réduit donc à trouver un moyen facile d'obtenir de Dieu la grâce nécessaire pour devenir saint, et c'est celui que je veux vous apprendre.

 

II. Je dis que, pour trouver cette grâce de Dieu, il faut trouver Marie, parce que :

1º C'est Marie seule qui a trouvé grâce devant Dieu, et pour soi et pour chaque homme en particulier. Les patriarches et les prophètes, tous les saints de l'ancienne loi n'ont pu trouver cette grâce.

2º C'est elle qui a donné l'être et la vie à l'Auteur de toute grâce, et, à cause de cela, elle est appelée la Mère de la grâce : Mater gratiæ.

3º Dieu le Père, de qui tout don parfait et toute grâce descend comme de sa source essentielle, en lui donnant son Fils, lui a donné toutes ses grâces, en sorte que, comme dit saint Bernard, la volonté de Dieu lui est donnée en Elle et avec Elle.

4º Dieu l'a choisie pour la trésorière, l'économe et la dispensatrice de toutes ses grâces, en sorte que toutes ses grâces et tous ses dons passent par ses mains ; et, selon le pouvoir qu'elle en a, suivant saint Bernardin, elle donne à qui elle veut, comme elle veut et autant qu'elle veut les grâces du Père éternel, les vertus de Jésus-Christ et les dons du Saint-Esprit.

5° Comme, dans l'ordre naturel, il faut qu'un enfant ait un père et une mère, de même, dans l'ordre de la grâce, il faut qu'un véritable enfant de l’Église ait Dieu pour père et Marie pour mère ; et s'il se glorifie d'avoir Dieu pour père n'ayant point la tendresse d'un véritable enfant pour Marie, c'est un trompeur qui n'a que le démon pour père.

6º Puisque Marie a formé le Chef des prédestinés qui est Jésus-Christ, c'est à elle aussi de former les membres de ce Chef, qui sont les vrais chrétiens. Quiconque veut donc être membre de Jésus-Christ plein de grâce et de vérité doit être formé en Marie par le moyen de la grâce de Jésus-Christ qui réside en elle en plénitude pour être communiquée en plénitude aux vrais membres de Jésus-Christ et à ses vrais enfants.

7° Marie a reçu de Dieu une domination particulière sur les âmes pour les nourrir et les faire croître en Dieu. Comme l'enfant tire toute sa nourriture de sa mère, qui la lui donne proportionnée à sa faiblesse, de même les prédestinés tirent toute leur nourriture spirituelle et toute leur force de Marie.

8° Marie est appelée par saint Augustin, et est, en effet, le moule vivant de Dieu, forma Dei, c'est-à-dire que c'est aussi en Elle seule qu'un Dieu Homme a été formé au naturel sans qu'il lui manque aucun trait de la divinité ; et c'est en Elle seule que l'homme peut être formé en Dieu au naturel autant que la nature humaine en est capable par la grâce de Dieu.

III. La difficulté est donc de savoir trouver véritablement la divine Marie pour trouver toute grâce abondante. Dieu étant maître absolu peut communiquer par lui-même ce qu'il ne communique ordinairement que par Marie. Cependant, selon l'ordre naturel que la divine Sagesse a établi, il ne se communique ordinairement aux hommes que par Marie. Dans l'ordre de la grâce, comme dit saint Thomas, il faut, pour monter et s'unir à lui, se servir du même moyen dont il s'est servi pour descendre à nous pour se faire homme et pour nous communiquer ses grâces. Le moyen donc pour trouver la grâce et une grâce abondante, c'est une vraie dévotion à Marie.

 

Histoires

 

Dès l'âge de cinq ans, le P. de Montfort goûtait les vérités chrétiennes assez vivement pour les répéter à sa mère. Mais il exerçait surtout son zèle envers une de ses jeunes sœurs nommée Louise, qu'il affectionnait plus que les autres. Quoique enfant, il mettait tout en œuvre pour lui faire quitter les amusements de l'enfance, et la séparait par adresse de ses compagnes pour la mener prier Dieu.

Témoignait-elle quelque répugnance ? il lui faisait de petits présents, et lui disait : « Ma petite sœur, vous serez toute belle, et tout le monde vous aimera si vous aimez Dieu ». Aussitôt elle le suivait et attirait ses compagnes pour réciter le chapelet à l'exemple de son frère. Pour les engager à le dire tous les jours, il leur donnait ce qu'il avait de plus beau. Le plus grand plaisir qu'elles pouvaient lui faire était de lui parler ou de lui faire parler de Dieu.

Cette intelligence si vive des choses de Dieu dans un âge si tendre, ce mépris des amusements qui font la vie de l'enfance, ce zèle pour la gloire de Dieu, cette tendresse filiale pour la Sainte Vierge nous montrent que, dès l'aurore de sa vie, le P. de Montfort eut des communications intimes avec Dieu, et que Marie, dont il devait être, après saint Bernard, un des plus dévots serviteurs et le panégyriste le plus profond, n'attendit pas que cette âme prédestinée vint la chercher. Pareille à cette sagesse dont il est parlé dans l'Ecriture, elle le prévint, allant à sa rencontre comme une mère pleine de tendresse (Vie du Vén. P. de Montfort, par Pauvert).

 

Dévotion d'O'Connell pour Marie

 

Les plus grands génies du catholicisme ont toujours montré une tendresse vraiment filiale envers la sainte Vierge.

« Qui plus que le grand O'Connell fut plus tendre pour la Reine du ciel et plus zélé pour son culte ? Il en parlait au peuple comme de la Mère du peuple. Il est devenu fameux, ce jour que, emporté par un sentiment extraordinaire de dévotion et de tendresse pour Marie, il en fit l'éloge en présence de plus de cent mille personnes, catholiques et protestants tous ensemble. Cette multitude, ravie et comme suspendue à ses lèvres, crut entendre un docteur, un Père de l’Église énumérer les gloires et chanter les louanges de la Mère de Dieu. Après sa célèbre harangue qui devait faire ouvrir aux catholiques les portes du Parlement anglais, pendant que les plus fameux orateurs s'animaient dans ce grand débat, O'Connell se tenait là, retiré dans un angle de la salle, récitant le Rosaire... » (P. Ventura).

Ce fut en répétant souvent la tendre prière de Saint Bernard Souvenez-vous, en renouvelant à chaque instant des actes de contrition, et en prononçant les noms de Jésus et de Marie, que s'éteignit cette grande voix qui avait ébranlé le monde et que s'envola cette grande âme qui avait éveillé l'admiration de la terre (Chrétiens et hommes célèbres au XIXe siècle, A. Baraud).

 

Pratique : Demandez à Dieu de vous communiquer quelque chose de l'esprit de sainteté qui était en Marie. Cet esprit de sainteté, c'est l'Esprit-Saint pénétrant l'âme de Jésus-Christ et celle de sa Mère dans un degré de perfection que nous ne comprendrons jamais. - Dieu veut nous communiquer par la Sainte Vierge ce même esprit, avec toutes ses inclinations, à une double condition : nous détacher de nous-même, nous unir à Dieu par la charité.

 

 

Ô Jésus, venez et vivez en nous, par Marie, dans votre esprit de sainteté !

 

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