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  • La beauté élève l'âme... Par ces images volontairement sélectionnées, ainsi que par la récitation de ces prières, puissiez-vous avoir le désir de parvenir à Jésus et à la sainteté, but ultime de toute vie...
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21 avril 2011

Vendredi Saint

 

Semaine Sainte

Triduum Pascal

Vendredi Saint

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Hymne

 

O Croix, notre espérance, arbre le plus noble de tous; nulle forêt n'a produit ton pareil pour le feuillage, la fleur et le fruit.

 

Tu nous es cher, ô bois, et plus cher encore le doux fardeau suspendu à tes clous sacrés.

 

Chantons, ma langue, la couronne du glorieux combat; célèbre le noble triomphe dont la Croix est le trophée, et la victoire que le Rédempteur du monde remporta dans sa propre immolation.

 

O Croix, notre espérance, arbre le plus noble de tous; nulle forêt n'a produit ton pareil pour le feuillage, la fleur et le fruit.

 

Le Créateur, compatissant au malheur que la séduction enfanta pour le premier homme notre père, précipité dans la mort pour avoir mangé d'un fruit funeste, daigna dès ce jour désigner le bois pour réparer le désastre causé par le bois.

 

Tu nous es cher, ô bois, et plus cher encore le doux fardeau suspendu à tes clous sacrés.

 

Tel fut le plan divin dressé pour notre salut, afin que la sagesse y déjouât la ruse de notre cauteleux ennemi, et que le remède nous arrivât par le moyen même qui avait servi pour nous faire la blessure.

 

O Croix, notre espérance, arbre le plus noble de tous; nulle forêt n'a produit ton pareil pour le feuillage, la fleur et le fruit.

 

Lors donc que le temps marqué par le décret divin fut arrivé, celui par qui le monde a été créé fut envoyé du trône de son Père, et avant pris chair au sein d'une Vierge, il parut en ce monde.

 

Tu nous es cher, ô bois, et plus cher encore le doux fardeau suspendu à tes clous sacrés.

 

A sa naissance, on le couche dans une crèche; c'est de là qu'il fait entendre ses vagissements; la Vierge-Mère enveloppe de langes ses membres délicats; les mains et les pieds d'un Dieu sont captifs sous les bandelettes, comme ceux des autres enfants.

 

O Croix, notre espérance, arbre le plus noble de tous; nulle forêt n'a produit ton pareil pour le feuillage, la fleur et le fruit.

 

Après avoir vécu six lustres, le temps de sa vie mortelle approche de son terme; c'est librement qu'il est descendu pour être notre Rédempteur ; et le jour est venu où cet Agneau est élevé sur l'arbre de la Croix, pour y être immolé.

 

Tu nous es cher, ô bois, et plus cher encore le doux fardeau suspendu à tes clous sacrés.

 

C'est là qu'on l'abreuve de fiel dans son agonie; là que les épines, les clous, la lance, déchirent son corps délicat; l'eau et le sang s'épanchent de sa plaie; la terre, la mer, les astres, le monde tout entier, reçoivent ce jet qui les purifie.

 

O Croix, notre espérance, arbre le plus noble de tous; nulle forêt n'a produit ton pareil pour le feuillage, la fleur et le fruit.

 

Arbre auguste, laisse fléchir tes rameaux; soulage, en pliant, les membres tendus de l'Agneau; amollis cette dureté que la nature t'avait donnée, et sois un lit plus doux pour le corps du souverain Roi.

 

Tu nous es cher, ô bois, et plus cher encore le doux fardeau suspendu à tes clous sacrés.

 

Seule tu as été trouvée digne de porter entre tes bras la victime du monde; pour ce monde naufragé, tu as été l'arche qui le ramène au port, toi qui fus inondée du sang divin de l'Agneau.

 

O Croix, notre espérance, arbre le plus noble de tous; nulle forêt n'a produit ton pareil pour le feuillage, la fleur et le fruit.

 

Gloire éternelle à l'heureuse Trinité; honneur égal au Père, au Fils, au Paraclet; louange de la part de tous les êtres à celui qui réunit la Trinité à l'Unité. Amen.

 

Tu nous es cher, ô bois, et plus cher encore le doux fardeau suspendu à tes clous sacrés.

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La Passion de notre Seigneur Jésus-Christ selon saint Jean

 

En ce temps-là, Jésus s'en alla avec ses disciples au delà du torrent de Cédron. Or il y avait là un jardin dans lequel il entra, lui et ses disciples. Judas qui le trahissait connaissait aussi ce lieu, parce que Jésus y venait souvent avec ses disciples. Judas donc ayant pris une cohorte et des gens que les princes des prêtres et les pharisiens lui donnèrent, vint en ce lieu avec des lanternes, des torches et des armes. Jésus donc, sachant ce qui devait arriver, s'avança et leur dit: « Qui cherchez-vous? » Ils lui répondirent: Jésus de Nazareth. Jésus leur dit: « C'est moi ». Or Judas, qui le trahissait, était avec eux. Lors donc qu'il leur eut dit: « C'est moi, ils reculèrent de quelques pas et tombèrent à terre ». Il leur demanda de nouveau: « Qui cherchez-vous? » Ils dirent: « Jésus de Nazareth ». Jésus leur répondit: « Je vous ai dit que c'est moi; si donc c'est moi que vous cherchez, laissez aller ceux-ci ». Afin que fût accomplie la parole qu'il avait dite: « De ceux que vous m'avez donnés, je n'en ai perdu aucun ». Alors Simon Pierre, qui avait une épée, la tira, et frappa un serviteur du grand-prêtre, et lui coupa l'oreille droite; or ce serviteur avait nom Malchus. Mais Jésus dit à Pierre: « Remets ton épée dans le fourreau. Le calice que mon Père m'a donné, ne le boirai-je donc pas? »

 

Alors la cohorte et le tribun, et les satellites des Juifs, se saisirent de Jésus et le lièrent. Et ils l'emmenèrent d’abord chez Anne, parce qu'il était le beau-père de Caïphe, qui était grand-prêtre cette année-là. Or Caïphe était celui qui avait donné ce conseil aux Juifs: Il est expédient qu'un seul homme meure pour le peuple. Simon Pierre suivait Jésus, et aussi un autre disciple; or ce disciple étant connu du grand prêtre, il entra avec Jésus dans la cour du grand-prêtre. Et comme Pierre se tenait à la porte au dehors, l'autre disciple, qui était connu du grand-prêtre, sortit et parla à la portière, et elle fit entrer Pierre. Cette servante commise à la porte dit donc à Pierre: « Es-tu aussi des disciples de cet homme? » Il répondit: « Je n'en suis point ». Les serviteurs et les gardes, rangés autour d'un brasier, se chauffaient; car il faisait froid. Et Pierre était aussi avec eux, debout et se chauffant.

 

Cependant le grand-prêtre interrogea Jésus touchant ses disciples et sa doctrine. Jésus lui répondit: « J'ai parlé publiquement au monde; j'ai toujours enseigné élans la synagogue et dans le temple, ou tous les Juifs s'assemblent, et je n'ai rien dit en secret. Pourquoi m'interrogez-vous? Interrogez ceux qui m'ont entendu, sur ce que je leur ai dit; ceux là savent ce que j'ai dit ». Après qu'il eut dit cela, un des gardes là présent donna un soufflet à Jésus, disant: « Est-ce ainsi que tu réponds au grand-prêtre »: Jésus lui dit: « Si j'ai mal parlé, fais voir ce que j'ai dit de mal; mais si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu? » Et Anne l'envoya chez Caïphe le grand-prêtre. Cependant Simon Pierre était debout et se chauffait. Quelques-uns donc lui dirent: « N'es-tu pas aussi de ses disciples? » Il le nia, et dit: « Je n'en suis point ». Un des serviteurs du grand-prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l'oreille, lui dit: « Ne t'ai-je pas vu avec lui dans le jardin? » Pierre le nia de nouveau ; et aussitôt le coq chanta.

 

Ils amenèrent Jésus de chez Caïphe dans le prétoire. Or c'était le matin, et eux n'entrèrent point dans le prétoire, afin de ne se point souiller, et de pouvoir mander la Pâque. Pilate vint donc à eux dehors, et dit: « Quelle accusation portez-vous contre cet homme? » Ils répondirent: « Si ce n'était pas un malfaiteur, nous ne vous l'aurions point amené ». Pilate leur dit: « Prenez-le vous-mêmes, et jugez-le selon votre loi ». Les Juifs lui dirent: « Il ne nous est pas permis de mettre personne à mort »; afin que fût accomplie la parole qu'il avait dite touchant la mort dont il devait mourir. Pilate donc rentra dans le prétoire, et appela Jésus, et lui dit: « Etes-vous le Roi des Juifs? » Jésus répondit: « Dites-vous cela de vous-même, ou d'autres vous l’ont-ils dit de moi? » Pilate répondit: « Est-ce que je suis Juif? Votre nation et vos prêtres vous ont livré à moi. Qu'avez-vous fait? » Jésus répondit: « Mon royaume n'est pas de ce monde; si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs combattraient pour que je ne fusse point livré aux Juifs: mais maintenant mon royaume n'est pas de ce monde ». Pilate lui dit: « Vous êtes donc Roi ? » Jésus répondit: « Vous le dites, je suis Roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité; quiconque est de la vérité, écoute ma voix ». Pilate lui dit: « Qu'est-ce que la vérité? » Et ayant dit cela, il sortit encore, et alla vers les Juifs, et leur dit: « Je ne trouve en lui aucun crime. La coutume est que je vous délivre un criminel à la fête de Pâque; voulez-vous que je vous délivre le Roi des Juifs? » Alors de nouveau tous s'écrièrent: « Pas celui-ci, mais Barabbas ». Or Barabbas était un voleur.

 

Alors donc Pilate prit Jésus et le fit flageller. Et les soldats ayant tressé une couronne d'épines, la mirent sur sa tête, et le revêtirent d'un manteau de pourpre. Et venant à lui, ils disaient: « Salut, Roi des Juifs! » Et ils lui donnaient des soufflets. Pilate sortit de nouveau, et leur dit: « Voici que je vous l'amène dehors, afin que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun crime ». Jésus donc sortit, portant la couronne d'épines et le manteau de pourpre. Et Pilate leur dit: « Voilà l'homme ». Les prêtres et les gardes l'ayant vu, crièrent: « Crucifiez-le, crucifiez-le ». Pilate leur dit: « Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le; car moi je ne trouve point de crime en lui ». Les Juifs répondirent: « Nous avons une loi, et selon cette loi il doit mourir parce qu'il s'est fait Fils de Dieu ». Ayant entendu cette parole, Pilate fut plus effrayé. Et entrant dans le prétoire, il dit à Jésus: « D'où êtes-vous? » Jésus ne lui lit pas de réponse. Pilate lui dit donc: « Vous ne me parlez point? Ignorez-vous que j'ai le pouvoir de vous crucifier et le pouvoir de vous délivrer? » Jésus lui répondit: « Vous n'auriez sur moi aucun pouvoir, s'il ne vous était donné d'en haut; et c'est pour cela que le péché de celui qui m'a livré à vous est d'autant plus grand ». Et depuis ce moment, Pilate cherchait à le délivrer. Mais les Juifs criaient, disant: « Si vous le délivrez, vous n'êtes point ami de César; car quiconque se fait Roi, se déclare contre César ». Ayant entendu cette parole, Pilate fit amener Jésus dehors; et il s'assit sur le tribunal, au lieu appelé en grec Lithostrotos, et en hébreu Gabbatha.

 

C’était le jour de la préparation de la Pâque. vers la sixième heure; et Pilate dit aux Juifs: « Voilà votre Roi ». Mais eux criaient: « Otez-le! ôtez-le! crucifiez-le! » Pilate leur dit: « Que je crucifie votre Roi? » Les princes des prêtres répondirent: « Nous n'avons de roi que César ». Alors il le leur livra pour être crucifié. Et ils prirent Jésus et l'emmenèrent. Emportant sa croix, il vint au lieu nommé Calvaire, et en hébreu Golgotha, où ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu. Pilate écrivit une inscription, et la fit mettre au haut de la croix. Voici ce qu'elle portait: « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs ». Beaucoup de Juifs lurent cette inscription parce que le lieu où Jésus était crucifié était près de la ville, et qu'elle était écrite en hébreu, en grec, et en latin. Les pontifes des Juifs dirent donc à Pilate: « N'écrivez point: « Roi des Juifs »; mais bien qu'il a dit: « Je suis le Roi des Juifs ». Pilate répondit: « Ce qui est écrit, est écrit ». Les soldats, après avoir crucifié Jésus, prirent ses habits dont ils firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi sa tunique; et, comme elle était sans couture, d'un seul tissu d'en haut jusqu'en bas, ils se dirent entre eux: « Ne la divisons point, mais tirons au sort à qui elle sera », afin que s'accomplit ce que dit l'Ecriture: « Ils se sont partagé mes vêtements, et ils ont jeté ma robe au sort ». Voilà ce que firent les soldats.

 

Debout près de la croix de Jésus, étaient sa mère et la sœur de sa mère, .Marie, femme de Cléophas, et Marie-Madeleine. Jésus ayant m sa mère, et debout près d'elle, le disciple qu'il aimait, il dit à sa mère: « Femme, voilà votre fils », là ensuite il dit au disciple: « Voilà ta mère », là depuis cette heure, le disciple la prit chez lui. Après cela, Jésus sachant que tout était accompli, afin qu'une parole de l'Ecriture s'accomplit encore, il dit: « J'ai soif ». Il y avait là un vase plein de vinaigre. Ils entourèrent d'hysope une éponge pleine de vinaigre, et la présentèrent à sa Bouche, là Jésus avant pris le vinaigre, dit: « Tout est consommé ». Et baissant la tête, il rendit l'esprit.

 

Or ce jour-là étant celui de la Préparation, afin que les corps ne demeurassent pas en croix durant le sabbat (car ce sabbat était un jour très solennel), les Juifs prièrent Pilate qu'on leur rompit les jambes, et qu'on les enlevât. Il vint donc des soldats qui rompirent les jambes du premier, puis de l'autre qui avait été crucifié avec lui. Etant venus à Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent point les jambes; mais un des soldats lui ouvrit le coté avec une lance, et aussitôt il en sortit du sang et de l'eau, là celui qui Se vit en rend. témoignage, et son témoignage est vrai, là il sait qu'il dit vrai, afin que vous croyiez aussi. Ceci advint pour que cette parole de l'Ecriture tut accomplie: Vous ne briserez pas un seul de ses os. Et il est dit encore ailleurs dans l'Ecriture: « Ils verront celui qu'ils ont percé ».

 

Après cela, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret, par crainte des Juifs, pria Pilate de lui laisser enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Il vint donc, et enleva le corps de Jésus. Nicomède, celui qui, autrefois, était venu trouver Jésus de nuit, vint aussi apportant une composition de myrrhe et d'aloès, environ cent livres. Or il y avait un jardin dans le lieu où Jésus avait été crucifié, et dans le jardin un sépulcre tout neuf, où personne n'avait encore été mis. Là donc, à cause de la préparation du sabbat des Juifs, et que ce sépulcre était proche, ils mirent Jésus.

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Les Impropères

 

O mon peuple, que t'ai-je fait ?En quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi. Est-ce parce que je t'ai tiré de la terre d'Egypte que tu as dressé une croix pour ton Sauveur ?

 

Dieu saint. Saint et fort. Saint et immortel, ayez pitié de nous.

 

Est-ce parce que, durant quarante ans, j'ai été ton conducteur dans le désert, que je t'y ai nourri de la manne, que je t'ai ensuite introduit dans une terre excellente ; est-ce pour ces services que tu as préparé une croix à ton Sauveur ?

 

Dieu saint. Saint et fort. Saint et immortel, ayez pitié de nous.

 

Qu'ai-je dû faire pour toi, que je n'aie pas fait? Je t'ai plantée comme la plus belle de mes vignes, et tu n'as eu pour moi qu'une amertume extrême; car dans ma soif tu m'as donné du vinaigre à boire, et tu as percé de la lance le côté de ton Sauveur.

 

Dieu saint. Saint et fort. Saint et immortel, ayez pitié de nous.

 

Pour l'amour de toi, j'ai frappé l'Egypte avec ses premiers-nés; toi, tu m'as livré à la mort, après m'avoir flagellé.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

Je t'ai tiré de l'Egypte, et j'ai submergé Pharaon dans la mer Rouge: toi, tu m’as livré aux princes des prêtres.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

Je t'ai ouvert un passage dans la mer: toi, tu m'as ouvert le liane avec une lance.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

J'ai marché devant toi dans une colonne de nuée: toi. tu m'as meneau prétoire de Pilate.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

Je t'ai nourri de la manne dans le désert: j'ai reçu de toi des soufflets et des coups de fouet.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

Je t'ai abreuvé de l'eau salutaire sortie du rocher: dans ma soif, tu m'as présente du fiel et du vinaigre.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

A cause de toi j'ai exterminé les rois de Canaan: toi, tu m'as frappe à la tète avec un roseau.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

Je t'ai donné le sceptre de la royauté: toi, tu as mis sur ma tête une couronne d'épines.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

Je t'ai élevé en déployant une haute puissance: toi, tu m'as attache au gibet de la croix.

 

O mon peuple, que t'ai-je fait? en quoi t'ai-je affligé? Réponds-moi.

 

Nous adorons votre Croix, Seigneur ; nous célébrons et glorifions votre sainte Résurrection;

Car c'est par la Croix que vous avez rempli de joie le monde entier.

Que Dieu ait pitié de nous et qu'il nous bénisse;

Qu'il fasse luire sur nous la lumière de son visage, et qu'il nous envoie sa miséricorde.

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