Le Serviteur de Dieu Patrick Peyton
Le Serviteur de Dieu Patrick Peyton
Le Prêtre du Chapelet
1909-1922
Patrick Peyton fut connu à travers le monde comme le « Prêtre du Chapelet ». Il avait expérimenté la puissante intervention de la Vierge Marie dans sa propre vie et il voulut dire aux familles du monde entier ce que Marie ferait pour elles si elle lui ouvraient leur cœur et leur foyer en priant ensemble le Chapelet en famille. Il parlait doucement avec son accent irlandais natal. Il faisait passer son message avec une telle humilité, simplicité et ardeur, que tous ceux qui l'avaient entendu étaient touchés jusqu'au plus profond d'eux-mêmes. Des familles entières s'engagèrent à prier le Chapelet dans leur maison chaque jour et restèrent fidèles à leur promesse pour le reste de leur vie. Elles n'oublièrent pas non plus le promoteur d'une telle dévotion. Elles chérirent les jours où elles se trouvaient en sa présence et où elles l'écoutèrent parler, comme de précieux moments de grâce divine.
Les humbles débuts
Patrick Peyton naquit le 9 janvier 1909. Il était le 6e des 9 enfants de son père et de sa mère. John et Mary (Gillard) Peyton. Ils avaient l'habitude de rassembler la famille entière chaque soir pour réciter le chapelet, à la lueur du feu. La famille menait une vie misérable dans leur petite ferme à Carracastle, Couty Mayo, en Irlande. En 1928, son frère aîné, Tom, et lui, partirent pour les Etats Unis pour chercher du travail. Après avoir rencontré un Prêtre qui les invita à joindre la Congrégation de Sainte Croix, ils entrèrent à Notre Dame et commencèrent leurs études pour la Prêtrise.
Pendant qu'il était étudiant en théologie, Patrick fut frappé par la tuberculose. Il languit presqu'une année dans son lit d'hôpital, alors que sa situation s'aggravait dangereusement. Le Père Hagerty, un vieux Prêtre conseiller, l'encouragea à placer toute sa confiance dans la puissance d'intercession de la Vierge Marie. Et, la communauté de Sainte Croix commença une Neuvaine de Messes pour sa guérison. Durant cette semaine, il affirma qu'il se sentait mieux. Les médecins surpris l'examinèrent et découvrirent qu'il était vraiment guéri. Ainsi, il fut autorisé à reprendre ses études. Il fut ordonné avec ses autres condisciples le 15 juin 1941. En reconnaissance à Notre Dame, il fit le vœu de passer le reste de sa vie à promouvoir sa dévotion afin que chacun put découvrir et obtenir les bénédictions qu'Elle avait hâte d'accorder à tous ceux qui se tourneraient vers Elle en toute confiance et avec beaucoup d'amour. Le Père Peyton resta fidèle à son engagement jusqu'à la fin de sa vie.
La mission : le Chapelet en famille
En 1942, avec l'approbation de ses supérieurs, il fonda officiellement « The Family Rosary », qui veut dire : « Le Rosaire de la Famille ». Son zèle était prodigieux. Il prêcha sans relâche la prière en famille, particulièrement, le Chapelet en famille, dans les missions en paroisses, à la radio, et plus tard, à la télévision. Il fonda « « Family Theater of the Air », qui veut dire : « Le Théâtre de la famille sur les ondes », le programme de radio doté du plus long temps d'émission de l'histoire. Et, pendant 22 ans, les stars les plus célèbres d'Hollywood investirent tous leurs talents à ses côtés pour l'aider dans sa mission.
En 1948, il commença ses fameuses croisades du Chapelet qui l'amenèrent à travers le monde et drainèrent des foules estimées à deux millions de personnes dans des villes comme Manille aux Philippines et Rio de Janeiro au Brésil. Fortifié par la prière et par sa totale dévotion envers Notre Dame, il était capable de surmonter sa timidité naturelle. Et, de la façon la plus simple, la plus ingénue, il parvint à convaincre des millions de personnes à travers le monde de prier le Chapelet chaque jour avec tous les membres de leur famille. Personne n'a jamais dit de lui qu'il était un grand orateur, mais tous ceux qui l'ont entendu prêcher pouvaient sentir qu'il était un saint homme. Il rayonnait l'amour de Dieu et inspirait chacun par la simplicité et la ténacité de son dévouement à Notre Dame.
La bourrique de Notre Dame
Il célébrait la Messe et méditait son bréviaire chaque jour avec une grande ferveur. Il passait de longues heures en prière devant le Saint Sacrement et récitait son Chapelet dès qu'il pouvait se libérer de sa charge ordinaire de travail. En effet, plus ses difficultés devenaient accablantes, plus ardemment il priait. Il s'était engagé à travailler de tout son cœur pour propager la dévotion envers Notre Dame, pas pour lui-même, et il savait qu'Elle viendrait à son aide.
Sa confiance en Elle était sans limites, et Elle ne l'a pas déçu. Quelle que fut la complexité des problèmes que posaient l'organisation des rassemblements de foules pour la prière du Chapelet, le financement de la production des films et des émissions de radio, le déplacement vers des villes ou des contrées lointaines, ou la correspondance avec des centaines de personnes qui écrivaient pour se recommander à ses prières ou pour offrir leur contribution, il ne se laissa jamais troubler et sût toujours garder sa paix d'esprit et sa cordiale bienveillance et amabilité.
Il ne laissa jamais ses devoirs d'état, aussi lourds qu'ils pouvaient être, éteindre l'amour dont son cœur était gonflé pour les gens qu'il essayait d'aider. Une dame exprima de façon tellement éloquente l'expérience de beaucoup de ceux qui le connurent : « Quand il vous parlait, vous vous sentiez embrassé par son amour ». En effet, il manifestait non seulement de l'amour, mais aussi de la joie, de la paix, de la patience et tous les autres fruits de l'Esprit (cf. Galates 5 : 22). Il était vraiment un homme de Dieu. Il disait de lui-même qu'il était la « bourrique de Notre Dame ».
La Cause de Canonisation
Il n'avait jamais joui d'une bonne santé et la fatigue de ses incessants labeurs ont malheureusement eu des répercussions néfastes sur son système cardiaque. Cependant, même après avoir subi une intervention chirurgicale au cœur, il continuait inlassablement sa mission, jusqu'à ce qu'il ne pût plus quitter sa chambre. Il mourût entouré de l'affection et des soins attentionnés des Petites Soeurs des Pauvres, à San Pedro, en Californie, aux Etats Unis, le 3 juin 1992.
A la demande pressante de la Congrégation de Sainte Croix, l'Evêque de Fall River initia la Cause de Canonisation du Père Peyton, le 1er juin 2001. Le Père Peyton est maintenant appelé « Serviteur de Dieu ».
Bien que le Père Peyton mourût en 1992, son œuvre continue de nos jours encore, car les « Holy Cross Family Ministries » ce qui veut dire « les Ministres de la Famille de la Congrégation de Sainte Croix » maintiennent la propagation de sa mission dans 14 pays à travers le monde. Etre au paradis, c'est être entré dans la gloire éternelle. L'Eglise ne canonise pas une personne pour ajouter à sa gloire, mais pour la présenter comme modèle de vie chrétienne et comme un puissant intercesseur au Ciel. Avant de déclarer une personne sainte, la Congrégation pour les Causes des Saints à Rome, requiert des preuves évidentes de la sainteté de cette personne, et aussi des marques palpables de la confiance répandue dans la puissance d'intercession de cette personne.
Beaucoup de témoignages de la sainteté du Père Peyton ont été recueillis et des prières pour des demandes par son intercession ont été distribuées. Beaucoup de faveurs ont été rapportées : non seulement des guérisons spectaculaires : recouvrement de la vue, guérison de cancers, des os cassés soudainement reconstitués, bourdonnement d'oreilles subitement disparus, des problèmes financiers résolus, la paix rétablie dans des familles divisées et troublées.
En priant pour obtenir des faveurs par l'intercession du Serviteur de Dieu le Père Patrick Peyton, C.S.C., beaucoup de personnes ont ainsi ravivé complètement leur dévotion envers Notre Dame. Elles ont redécouvert la puissance du Chapelet pour obtenir la paix intérieure, l'inspiration et une confiance tranquille en la maternelle protection de Notre Dame. Elles ont touché du doigt dans leur vie personnelle la vérité contenue dans les slogans que le Père Peyton a popularisés : « La famille qui prie ensemble est une famille unie » et « un mon de en prière est un monde de pais ».
Prière pour demander la Canonisation du Serviteur de Dieu Patrick Peyton
O Doux Jésus, le Père Peyton à dévoué toute sa vie de Prêtre à resserrer les liens des familles du monde, en les invitant à la prière quotidienne, spécialement la récitation du Chapelet. Son message est aussi important pour nous aujourd'hui qu'il l'était durant sa vie terrestre. Nous Vous supplions, par conséquent, de hâter le jour de sa canonisation, afin que les fidèles de partout se souviennent de sa prédication, surtout de cette phrase d'exhortation qu'il répétait toujours : « La famille qui prie ensemble reste ensemble ». Qu'ils suivent ses pas sur les traces de sa dévotion envers Votre Mère et la notre, et qu'ils soient inspirés par sa sainte vie, pour devenir plus que jamais proches de Vous avec une confiance totale et un profond amour filial. Amen.
Prière pour obtenir une faveur par l'intercession du Serviteur de Dieu Patrick Peyton
Dieu notre Père, Votre Règne éclate dans toute la création, et la puissance de Votre Grâce est révélée dans la vie de Vos Saints qui nous inspirent à croire en Vous plus fermement et à servir nos frères plus généreusement. D'une façon unique, Vous avez béni la vie et le travail du Père Patrick Peyton, C.S.C., Votre Serviteur, et aussi fervent apôtre de Marie Reine du Saint Rosaire et notre Mère. Par son intercession, nous demandons cette faveur (…) Pour Votre honneur et Votre Gloire. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.
Signaler les grâces reçues par l'intercession du Père Patrick Peyton à
Bureau du Vice Postulateur
Centre du Père Peyton
518 Washingtown St.,
North Easton, MA 02356-1200
Congrégation de Sainte Croix
68, rue de Flore
F-72000 Le Mans
Téléchargez le texte de cette prière (pdf) en cliquant ici
Béatification du Père Louis Brisson
Béatification du Père Louis Brisson
Fondateur des Oblats de Saint François de Sales
1817-1908
A l'occasion de la Béatification du Père Louis Brisson qui aura lieu à Troyes ce 22 septembre, nous vous invitons à découvrir ce grand Serviteur de Dieu et du prochain.
Son enfance
Louis Brisson est né à Plancy (France), le 25 juin 1817. Il est baptisé le 29 juin. Dès l'âge de cinq ans, il manifeste déjà son zèle en recrutant des auditeurs pour la Mission qui se prêche à Plancy. Cet amour précoce pour les âmes est l'indice de sa vocation sacerdotale ; elle se développe sous l'influence de sa pieuse mère. Celle-ci le prépare dans le renoncement et le sacrifice joyeux à sa Première Communion. Cet acte si important marque dans sa vie; il l'accomplit à onze ans, dans l'église de Plancy, avec une grande ferveur. Ce contact intime avec son Dieu allume dans son coeur ce vif amour pour Notre Seigneur au Saint Sacrement qui sera sa grande dévotion.
Au séminaire
Après avoir fait ses premières classes latines au presbytère de Plancy, il entre au Petit Séminaire de Troyes et s’y distingue par son ardente piété et la supériorité de son intelligence; puis il poursuit brillamment ses études au Grand Séminaire.
Son ordination
Le 19 décembre 1840, l'Abbé Brisson est ordonné prêtre et le 22 décembre, il chante solennellement sa première Messe à Plancy. Peu de temps après son ordination, il est nommé aumônier de la Visitation de Troyes ; il exercera ce ministère pendant quarante-quatre ans.
Visitation de Troyes
La Vénérable Mère Marie de Sales Chappuis a reçu de Dieu la mission d'établir une Congrégation de Prêtres destinés à répandre dans le monde l'esprit et la doctrine de saint François de Sales, et le Seigneur lui a fait connaître que l'Abbé Brisson est l'instrument providentiel, choisi par Lui, pour coopérer à la fondation de cette Oeuvre. La Servante de Dieu l'en ayant averti, c’est pour l'Abbé Brisson l'occasion d'une longue et terrible lutte. Il ne veut pas céder aux instances de la Vénérable Mère ; il craint d'enchaîner sa liberté et il éprouve une vive répugnance à faire ce qu'elle désire. Le Seigneur lui confirmera lui-même que cet appel vient de Lui.
L'Association catholique de Saint-François de Sales
Attendant l'heure de la Providence pour commencer la fondation des Prêtres, l’Abbé Brisson se donne sans compter à différentes oeuvres d'apostolat dans la ville de Troyes. Dès l'année 1857, il collabore activement avec Monseigneur de Ségur à l'établissement, dans le diocèse, de l'Association catholique de Saint-François de Sales, dont il est nommé directeur en 1858.
Fondation des Oblates de Saint François de Sales
L'Abbé Brisson ouvre en même temps à Troyes des maisons de patronage pour les jeunes ouvrières, très nombreuses dans ce centre industriel. Fin 1866, il en confie la direction à deux anciennes élèves de la Visitation de Troyes; et, avec l’aide de la Vénérable Mère Marie de Sales Chappuis, il les forme à la vie religieuse, d'après l'esprit de saint François de Sales. Le 30 octobre 1868, Monseigneur Mermillod donne l'Habit religieux aux deux premières Oblates. Le 11 octobre 1871, Monseigneur de Ségur préside la cérémonie de leur Profession. Le nouvel Institut est un des moyens dont la Providence va se servir pour répandre dans le monde la doctrine de saint François de Sales, par les oeuvres d’apostolat.
Fondation des Oblats de Saint François de Sales
Ces consolants débuts ont leur magnifique couronnement par la fondation des Oblats de Saint François de Sales. Une circonstance toute fortuite amène l'Abbé Brisson à la commencer. Monseigneur Ravinet, Evêque de Troyes, lui demande de reprendre une Ecole secondaire dans sa ville épiscopale. L’Abbé Brisson croit le moment opportun pour réaliser la pensée de la Vénérable Mère Marie de Sales Chappuis. Il ouvre le Collège où bientôt viennent le rejoindre de dévoués collaborateurs.
Père Louis Brisson
Le 11 octobre 1874, les Oblats commencent leur noviciat, et le 27 août 1876, le Père Brisson fait Profession, entouré des cinq premiers Oblats qui prononcent ensuite leurs voeux entre ses mains. Les deux Instituts des Oblats et des Oblates de Saint-François de Sales, encouragés et approuvés par Pie IX et Léon Xlll, prennent une rapide extension en Europe d'abord, puis en Afrique et en Amérique. Leurs oeuvres se multiplient : collèges, pensionnats, écoles, patronages, missions. Le Père Brisson en est l'âme et gouverne ses deux familles avec cette sûreté de vue et cette clairvoyance de l'avenir que Dieu accorde si particulièrement aux fondateurs. Tout converge vers lui. Il traite lui-même toutes les affaires: direction des études, travaux intellectuels, sciences, arts, constructions, organisations matérielles et économiques, rien ne lui reste étranger; son génie créateur embrasse tout. Il allie à cette connaissance approfondie des choses pratiques une vie intérieure très intense. C'est essentiellement une âme d'oraison ; son union à Dieu est habituelle, il se tient continuellement en sa divine présence. Il possède à un rare degré le discernement des esprits; il a le don de lire dans les âmes et de leur communiquer la foi ardente qui ranime. Il exerce sur elles un attrait irrésistible qui les amène, presque à leur insu, à l'accomplissement des actes les plus généreux, par amour pour Dieu. Ce remarquable ascendant, le Père Brisson l'exerce non seulement sur sa double famille religieuse, mais encore sur la plupart de ses nombreux visiteurs. Sa mansuétude s'étend à tous ; chacun bénéficie sans distinction de son incomparable charité qui rappelle celle de Notre Seigneur Lui-même. Le sceau divin de l'épreuve marque la vie du Père Brisson dès le moment où il commence la fondation de l'Oeuvre à laquelle il est destiné ; mais il s'imprime plus fortement encore sur les dernières années de son existence si féconde.
Persécution religieuse
La persécution religieuse déchaînée en France contre les instituts religieux anéantit en partie ses oeuvres si prospères. Ses enfants spirituels sont expulsés ; lui-même, empêché par son grand âge de les suivre en exil, se voit contraint, en 1903, de chercher refuge à Plancy, dans I'humble maison qui avait abrité son enfance. En ces heures douloureuses de I'adversité, la vertu du Père Brisson brille dans tout son éclat. Il tient son âme respectueuse à l'égard des volontés et des permissions de Dieu et redit avec le saint homme Job: « - Le Seigneur m'a tout donné, le Seigneur m'a tout ôté. Que son saint Nom soit béni ! -» Ferme dans sa foi et sûr des promesses divines pour I'avenir de ses deux Instituts, il n’est point ébranlé dans son invincible confiance : Restons bien dans l’assurance que Dieu est avec nous, dit-il ; tout ce qu’Il permettra sera pour nous un grand bien personnel et sa gloire sera propagée par nous d’une façon plus complète. Le Seigneur récompense la foi de son fidèle serviteur ; il voit bientôt fleurir à l'étranger les oeuvres des Oblats et des Oblates. A Plancy, la Providence lui ménage la consolation de continuer son apostolat auprès des jeunes ouvrières, dans une maison de patronage, dernier fruit de son zèle. Le Père Brisson achève ainsi sa course, comme il l'a commencée : au pays de sa naissance, en travaillant jusqu'à son dernier jour au salut des âmes qu’il a tant aimées !
Vers le Ciel
En janvier 1908, une douloureuse maladie fait pressentir sa fin prochaine. Il l'envisage avec la paix du bon serviteur qui a fidèlement accompli la mission dont Dieu I'a chargé. Il reçoit les derniers sacrements, le coeur tout embrasé d'amour, avec les sentiments de la foi la plus vive. Le jour de la fête de la Présentation de Jésus au Temple, le 2 février, à l'âge de 90 ans, il rejoint paisiblement son Seigneur. Ses œuvres lui survivent, et ses nombreux enfants spirituels redisent, jusqu'aux extrémités de la terre, leur filial amour et leur profonde vénération pour celui qui a été leur «bon Père ».
Prière
Seigneur Jésus, qui avez dit : « Demandez et vous recevrez », nous Vous prions par l'intercession de Votre Prêtre Louis Brisson. Attentif aux signes des temps et pour obéir à Votre Volonté, il a fondé la famille des Oblates et des Oblats de Saint-François de Sales. Confiant en Votre Providence, joyeux dans l'espérance, il a su, en bon Père, se faire tout à tous. Accordez-nous, à sa prière, les grâces que nous sollicitons de Vous, particulièrement…. Que la Sainte Eglise ait la joie de glorifier ce prêtre selon Votre Coeur, tout donné à ton Amour. Amen.
Bienheureux Louis Brisson, bénissez-nous !
Texte extrait du site www.sosfs.com
Pour suivre en direct la Messe de Béatification du Serviteur de Dieu Louis Brisson
Rendez-vous sur le site : http://www.ktotv.com a partir de 15 heures.
Quelques Vidéos
Emission "La Vie des Diocèses"
Diocèse de Troyes
Documentaire
Le Père Louis Brisson, père de l'horloge astronomique
Louis Brisson, Père de l'horloge astronomique... par canal32-wizdeo
Pour approfondir
Site de la Congrégation des Oblates de Saint François de Sales