13 mai 2013

Les Treize Mardis de Saint Antoine de Padoue 9/13

Les Treize Mardis de Saint Antoine de Padoue

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Neuvième Mardi

Apostolat en Italie

(Suite)

 

Antoine arriva à Padoue au commencement du carême de l'année 1228. Aussitôt il se mit à l'œuvre. Des âmes, des âmes ! Il lui faut des âmes à sauver. Durant les prédications de la station quadragésimale, il ne cessa de répandre sur son auditoire, chaque jour plus nombreux, les trésors de foi et d'amour qui remplissaient son âme. Le plus grand miracle qu'Antoine opéra à Padoue, dit l'un de ses récents historiens, fut la transformation de cette cité mondaine. Le succès de sa parole fut immense ; les églises ne suffisaient pas à contenir son auditoire, qui compta jusqu'à trente mille hommes. On se mettait en route dès minuit pour arriver à temps au sermon. Toute la vie de la population semblait se concentrer sur un seul point, la prédication d'Antoine, et, dans l'espace d'un mois, la vieille cité fut transformée.

« Un jour, dit l'auteur de la Vie Anonyme, cité par Mgr Ricard, un jour Antoine fut plus éloquent qu'à l'ordinaire, et un de ses auditeurs se sentit bouleversé par sa parole. Or, quand il se présenta devant le Saint pour accuser ses péchés, il poussait de si profonds soupirs et de tels sanglots coupaient sa voix, qu'il lui fut impossible de proférer un seul mot. Le Bienheureux lui conseilla alors de mettre ses fautes par écrit. Le pénitent obéit ; mais, quand l'Homme de Dieu tint le papier en main, l'écriture avait disparu, et le parchemin était aussi net que si on n'y avait jamais tracé aucun écrit ».

A ces prodiges s'ajoutaient d'autres prodiges ; à ces miracles succédaient d'autres miracles. C'est une mère qui présente au Saint son enfant paralytique et qui le voit aussitôt marcher et courir comme les enfants de son âge ; c'est un père qui met sous les yeux d'Antoine sa fille, en proie à de fréquentes crises d'épilepsie, et qui a le bonheur de la voir radicalement guérie ; c'est une bande de douze brigands qui se convertit tout entière à la première prédication.

Enfin, car il n'est pas possible de citer tous les miracles, tant ils sont nombreux, un jeune homme va trouver Saint Antoine et lui avoue qu'il a frappé sa mère et qu'il l'a renversée d'un coup de pied. Un cri d'indignation s'échappe du cœur du Saint, et il dit au coupable, avec l'accent du reproche : « Un pied qui a frappé sa mère mériterait d'être coupé ». Le jeune homme, qui était violent et emporté et de plus, simple et grossier, prit ces paroles à la lettre, et, rentré chez lui, il coupa son pied d'un coup de hache. A cette vue, sa mère poussa des cris de désolation et de douleur ; elle alla trouver Antoine et l'accabla de reproches pour avoir donné une si horrible pénitence à son fils. Le Saint ne dit mot ; mais, sortant avec la pauvre femme, il l'accompagna jusqu'à sa demeure. Là, il prit le pied amputé et sanglant, le rapprocha de la jambe, et toute trace de la blessure disparut. Jamais l'action directe sur les âmes ne s'était fait sentir, depuis les temps apostoliques, aussi vivement et aussi efficacement, tant par les prédications que par les miracles qu'Antoine semait sur son passage, et Padoue était revenue à la vertu et à la foi. « La vigne du Seigneur y était en pleine sève », dit Saint Bonaventure.

Après cette station si fructueuse à Padoue, Antoine se rendit à Bologne, où il arriva dans l'été de 1228. Il évangélisa encore un grand nombre de villes, fonda plusieurs couvents, prêcha le carême à Florence, visita Mantoue et sema partout sur sa route les conversions et les miracles. Il s'achemina ensuite vers Assise, où il assista, en 1230, à la Translation du corps de Saint François. Au lendemain de cette fête triomphale, les Frères Mineurs se réunirent en assemblée capitulaire, et Antoine abdiqua humblement ses fonctions de Provincial. Ce fut alors que le nouveau général permit au Bienheureux de choisir le lieu de sa résidence. Sans hésiter, il désigna Padoue. Il avait été l'apôtre de cette ville et il le sera encore; mais, ce que nous ne pouvons passer sous silence, c'est qu'il en fut aussi le libérateur.

A cette époque, le Nord de l'Italie tremblait au nom redouté d'Ezzelino de Romano, le féroce lieutenant de l'empereur Frédéric II. Déjà Padoue voit à ses portes ce terrible adversaire ; déjà Vérone a été prise d'assaut ; déjà Castel-Fonte est tombé au pouvoir du cruel vainqueur ; tout est mis à feu et à sang. Les habitants de Padoue se placent sous la protection d'Antoine et lui demandent de les sauver. Le saint se dévoue pour ses chers Padouans, et il part pour Vérone, où se trouvait le barbare gouverneur. L'humble religieux est admis en sa présence.

Alors, fort de la puissance et de l'autorité de Dieu dont il est le ministre, vengeur de l'innocence qui a été foulée aux pieds, de la justice qui a été insultée, de la loi divine et de la morale publique qui ont été méprisées, il laisse déborder de son âme les flots de sa sainte indignation, et il adresse au gouverneur impérial ces foudroyantes paroles : « Tigre cruel, jusqu'à quand verseras-tu le sang innocent, le sang des chrétiens ? Le glaive du Seigneur, sache-le, est suspendu sur ta tête. Songe au jour du jugement qui approche. Le châtiment sera terrible ». En entendant ces mots, le tyran se trouble ; il tremble, et, effrayant de pâleur, « il se prosterne, dit le Liber miraculorum, aux pieds de l'homme de Dieu, et, au milieu de la surprise de tous les assistants, il avoue ses péchés et promet de se corriger, conformément aux conseils du frère ». Sauveur de Padoue, béni de tous les habitants, Antoine parut dans la chaire au début du carême de 1231. Ce devait être le dernier chant du cygne.

« Antoine le savait et ne le disait pas, observe le chroniqueur, de peur d'affliger ses Frères. Mais tous en avaient comme un pressentiment, ajoute Mgr Ricard. Jamais il n'avait mieux parlé. On eût dit le Sauveur Jésus, à son dernier soir, quand il épancha son cœur en ce magnifique discours de la Cène, testament et mémorial de l'amour d'un Dieu. Jamais non plus les prodiges ne naquirent plus empressés sous ses pas, obéissant à la voix du missionnaire, déjà frappé à mort par l'excès de charité et les efforts surhumains de son zèle ». Ce Carême de l'année 1231 fut pour Antoine un vrai triomphe au milieu de miracles innombrables. C'est la fin de la moisson, et la récolte a dépassé toutes les espérances. L'heure vient où l'ouvrier diligent et vaillant va recevoir sa récompense et entrer dans le repos éternel.


Réflexions

La Pénitence


Lorsque nous regardons l'image de Saint Antoine de Padoue, nous le voyons vêtu d'une robe sombre, qu'une corde serre à la ceinture. Ce sont là les livrées de la pénitence. De plus, notre Saint a les pieds nus, et sa tête rasée ne conserve que la couronne monacale. C'est ainsi qu'il nous prêche la mortification des sens, le mépris de la mollesse et des plaisirs, le détachement des choses de la terre, l'oubli de soi-même et le dédain pour tout ce qui est passager, futile et vain. En effet, l'homme est-il quelque chose par son corps ? Allez dans les nécropoles comme dans les plus humbles cimetières, faites ouvrir les tombes des grands de la terre et les cercueils des plus inconnus des hommes, et voyez ce qui reste du corps après quelques années et quelquefois après quelques mois seulement. Ce n'est donc pas par ce côté que l'homme a une valeur, et voilà pourquoi les saints ont toujours montré. pour le corps très peu de préoccupation.

Ce qui fait l'homme, c'est son être moral, c'est son être pensant et voulant, c'est le principe de toute action, c'est l'âme. Or, comme l'âme est enfermée, emprisonnée dans le corps qu'elle anime, elle est exposée à subir ses exigences, à descendre dans des régions où la matière est souveraine, à déchoir par conséquent, puisqu'elle est esprit. L'âme ne doit pas se matérialiser, c'est-à-dire n'avoir plus de pensées que pour les choses de la terre, de volonté et de désir que pour ce qui est bas et grossier ; mais au contraire, elle doit spiritualiser le corps, c'est-à-dire l'élever au-dessus des vulgaires préoccupations du bien-être, le maîtriser par les mortifications et le dompter par la souffrance ; en un mot, elle doit pratiquer en lui et avec lui la vertu de pénitence. Et c'est cette vertu qui se manifeste par les dehors si pauvres de Saint Antoine.

De plus, la pratique de cette vertu rapproche davantage l'homme de son Divin Modèle, car Jésus-Christ a été pauvre et il a souffert, et c'est sur la Croix qu'il attend ceux qui l'aiment, c'est au sommet du Calvaire qu'il faut arriver par un chemin difficile et pénible, quand on veut imiter le Divin Sauveur. En d'autres termes, l'immolation de soi-même par amour pour Jésus-Christ, voilà le but que les Saints ont atteint et pleinement réalisé par la vertu de pénitence.

 

Prières : Notre Père, je Vous salue, Si Quaeris, Trois Gloire soir au Père, suivis de l'invocation : « Saint Antoine de Padoue, priez pour nous ».

 

Oraison


O grand Saint Antoine, vous dont le cœur est si plein de bonté, et qui avez reçu de Dieu le don de faire des miracles, secourez-moi en ce moment, afin que, par votre assistance, j'obtienne la grâce que je demande (nommer la grâce), et que je puisse ainsi glorifier de plus en plus le Seigneur qui opère par vous de si grandes merveilles.

 

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Le Mois de Marie de la Médaille Miraculeuse

Le Mois de Marie de la Médaille Miraculeuse

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Quatorzième jour

Prodigieuse diffusion de la Médaille

 

M. Aladel avait donc accueilli avec beaucoup de défiance les communications de Sœur Catherine Labouré ; il continuait à traiter d'illusions les confidences de la jeune Sœur. Les mois passaient et les désirs exprimés par la Sainte Vierge ne se réalisaient pas... Une voix intérieure s'en plaignit bientôt à Sœur Catherine : « La Sainte Vierge n'est pas contente parce qu'on néglige de faire frapper la médaille ». « Ma bonne Mère, répondit-elle, vous voyez bien que M. Aladel ne me croit pas ». « Sois tranquille répliqua la voix, un jour viendra où il fera ce que Je désire ». C'est ce qui arriva. Quand le pieux missionnaire reçut cette communication, il se dit : « Si Marie est mécontente, ce n'est pas de la jeune Sœur, qui elle, ne peut rien faire de plus ; c'est donc de moi ». Il se décida dès lors à agir et la Providence l'aida visiblement.

« J'eus l'occasion, écrit-il, de voir Mgr de Quélen, Archevêque de Paris ; la conversation nous donna lieu de raconter tous les détails des apparitions au vénérable Prélat, qui nous dit ne voir aucun inconvénient à la frappe de cette médaille, attendu qu'elle n'offrait rien d'opposé à la Foi de l'Eglise, qu'au contraire tout y était très conforme à la piété des fidèles envers la Sainte Vierge, que, par conséquent, elle ne pouvait que contribuer à la faire honorer. Mgr de Quélen exprima le désir d'avoir une des premières médailles. Dès lors, ajoute M. Aladel, je me déterminais à faire le nécessaire ».

« Aussitôt que la Médaille fut frappée, dit-il, elle commença à se répandre, surtout parmi les Filles de la Charité qui, ayant eu connaissance de son origine, tout en ignorant qui était la Voyante, la portaient avec une grande confiance. Bientôt, elles la donnèrent à quelques personnes malades, dont six ne tardèrent pas à en ressentir les heureux effets. Trois guérisons et trois conversions s'opérèrent, tant à Paris que dans le Diocèse de Meaux, d'une manière aussi subite qu'inattendue ».

Malgré les sarcasmes des incroyants, la diffusion en fut immédiatement prodigieuse dans toutes les classes de la société et dans tous les pays. M. Vachette, le graveur, prouva, registre en man, qu'il en avait vendu plus de deux millions en dix ans. Il affirmait de plus que, à sa connaissance, onze autre fabricants de Paris en avaient écoulé la même quantité, et quatre autres de Lyon au moins le double. De tous côtés, l'on écrivait à la Rue du Bac pour réclamer des stocks de la « Médaille qui guérit », pour raconter les miracles qu'elle opérait. Dans telle ville, des missions entières suppliaient leur Curé de la leur procurer. Des prêtres écrivaient à M. Aladel « qu'elle ranimait la ferveur dans les villes comme dans les campagnes ». A Rome, les Supérieurs généraux de plusieurs Ordres s'empressèrent de la faire connaître, et le Souverain Pontife lui-même, Grégoire XVI, la plaça au pied de son crucifix.

 

Lecture

A travers les flammes

 

Le 2 septembre 1943, vers 8 heures du soir, raconte une Fille de la Charité d'un hôpital du Pas de Calais, je me trouvais au chevet des brûlés du bombardement du 31 août, lorsque des bruits de moteurs paraissaient se rapprocher... Quelques secondes après, de fortes détonations se font entendre, ébranlant murs et fenêtres. Nous voyons du feu, des éclairs... Est-ce fini ? Non... Hélas ! Une Sœur accourt : « Ma Sœur, le feu est dans la salle, au rez-de-chaussée ».

Je cours, je constate d'un coup d'oeil feu et fumée. Vite, je vais au premier ; femmes et enfants affolés crient : « Au secours ! » Vite, des brancards ! Je redescends plus vite encore ; les foyers étaient à la base du bâtiment, et de chaque côté des flammes pénétraient par les fenêtres. Un infirmier se précipite sur la pompe à incendie, part à droite, moi à gauche, avec un extincteur que je n'arrive pas à dévisser... pendant que je faisais tous mes efforts, aidée par un malade alité, la bombe incendiaire se met à éclater... j'aperçois un foyer, deux foyers... L'extincteur marche ; les deux foyers s'éteignent, mais la fumée à envahi a grande salle. Le parc qui entoure l'hôpital ne forme que brasiers disséminés, puis des bouquets d'arbres s'enflamment. Il faut évacuer les blessés ; déjà bon nombre se sont levés, même une fracture de la cuisse. Je vais pour appeler du secours : pas une âme dans la rue, pas de téléphone ! Je sors les lits à roulettes qui sont au fond de la salle, aidée des plus valides ; enfin notre aumônier accourt. Nous allons flamber littéralement.

Déjà des blessés arrivent des corons, en quel état !... Puis les familles des hospitalisés, que je rassure et que j'embauche à éteindre les foyers du parc. Une Sœur s'en occupe déjà, tandis que d'autres reçoivent les blessés et les font patienter en attendant l'arrivée des docteurs. Une demi-heure après, le personnel au complet était là, accouru à la vue des flammes. A 5 heures du matin, tout était fini. Nous avons travaillé toute la nuit dans les salles d'opérations. Nous avons hospitalisé les blessés les plus graves : 19 au total, ajoutés au 13 brûlés du 31 août. Trois sont morts. La cité compte 28 victimes, plus de 200 maisons inhabitables, près de 40 détruites par des bombes explosives. Que de ruines, de dégâts en si peu de temps ! Pour notre seul enclos, on a constaté la chute de vingt bombes incendiaires. Une sœur me disait encore aujourd'hui : « Ma Sœur , il est à croire que le bombes ont glissé sur votre toit ». Oui, la Sainte Vierge l'a bien gardée ; ses médailles sont aux portes depuis le début de la guerre... (Sœur B. Fille de la Charité, Bully-les-Mines, Pas-de-Calais).

 

Prière

 

O Marie, Vierge Immaculée, merci de nous avoir donné ce signe, ce présent, cette petite Médaille qui mérite si bien et méritera toujours son beau nom de « Miraculeuse » ! Si Dieu a permis qu'elle se répande ainsi d'une manière si prodigieuse à travers le monde, n'est-ce pas pour y manifester Votre Gloire et Votre Puissance ? Nous voulons, dans notre humble sphère, être les propagateurs de Votre Médaille ; et ce signe béni continuera à faire des miracles et à attirer les bénédictions divines sur tous ceux que nous aimons. Ainsi soit-il.

 

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O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous !

 

Prions les uns pour les autres

 

En ce mois de Marie, durant lequel nous prions Notre Dame de la Médaille Miraculeuse, prions les uns pour les autres. Confiez vos intentions à la prière des internautes. Elle seront publiées ci-après. Envoyez-moi vos intentions à franck.monvoisin@laposte.net

 

« Je viens vous confier les intention de Marie Amédée que maman Marie en ce mois qui lui est confié lui obtienne la grâce de la délivrance totale de tout ses esprits maléfiques qui l'empêchent de réussir sa vie. Maman Marie obtiens lui la grâce de la foi afin qu'elle puisse dire au monde entier tes merveilles et porter plus haut ton étendard et montre lui sa vocation. Obtient aussi a Joséphine la grâce de la réconciliation entre elle et sa maman, sa sœur, son frère, sa nièce, et obtiens pour Francesca la délivrance totale. Donne à pauline la grâce de la foi, l'humilité a Sther, la foi et du travail ». (Pauline)

« Merci à tous ceux qui prieront la Très Sainte Vierge Marie, l'Immaculée Conception, pour la conversion sincère de François, mon mari, ainsi que celles de mes enfants Stéphane, Sylvie et aussi de Yukiko et de Mandor. Merci Maman Marie ». (Anne Marie).

« Maman Marie, merci m'accorder la santé  du corps intercédez pour moi auprès de votre fils ». (Joseph).

« Mes intentions de prière en ce Mois de marie notre Mère : afin qu'elle puisse intercéder auprès de son fils notre seigneur et sauveur Jésus-Christ, pour la réussite, et la victoire de mon voyage ainsi que la protection de tous mes enfants et que je puisse recevoir la délivrance. Merci ». (Godart).

« Ma très sainte mère aie pitié de moi et de ma famille, permets par tes prières que Georgy mon frère soit libéré de ses souffrances dues à sa sclérose en plaques, je souhaiterais avec une très grande foi qu'il guérisse physiquement, spirituellement et intellectuellement. Mais je souhaite que ce soit la volonté de dieu. Je te recommande aussi Mattys son fils,mon neveu que j'essaie de convaincre à se baptiser aide moi, je te confie Arnaud mon autre neveu adolescent également, mais aussi son père : Jannick. Enfin, pour moi je prie depuis 8 ans qu'un homme croyant pratiquant soit envoyé par Dieu pour devenir mon époux, mais rien de tout cela, aide moi, maman par l'intercession de sainte Catherine Labouré. Quelque soit ce que Dieu aura décidé aide moi à accepter sereinement ». (Dulio).

« Je demande l'intercession de la vierge Marie pour guérir ma sœur Blandine, mère des 4 enfants qui souffre de l'hypertension artérielle, maux de cœur et du début du diabète. Que le Seigneur ait pitié d'elle afin qu'elle puisses continuer à élever ses enfants ; je supplie la Mère de Dieu d'assister ma femme qui attend la venue de notre bébé, la vierge qui nous a assisté pour la venue de cet enfant qu'elle assiste ma femme le jour de son accouchement, qu'elle accouche sans problème et par la voie basse ; je demande aussi la grâce de l'Eternel par la médiation de la mère du seigneur qu'elle accorde à ma mère le visa pour la Belgique pour assister sa fille qui vient d'avoir les jumeaux après vingt ans d'attente. Que le seigneur nous accorde sa grâce de demeurer toujours dans sa présence. Amen ». (Clovis).

« Je confie à la Vierge Marie les maux d'yeux de ma mère. Qu'elle vienne à son secours et lui accorde la guérison ». (Jean-Paul).

« Je vous confie humblement cette intention de prière. Maman Marie, toi qui a toujours été à mes côtés, je te confie et te consacre mon profond désir de mariage. Veux-tu le purifier selon la volonté de Dieu ? Tu connais tous mes sentiments, mes désirs et mes pensées concernant Christophe, je te les remets avec confiance et beaucoup d'espoir. Viens régner, avec Jésus dans notre coeur et dans notre relation d'amitié. Si c'est la volonté de Dieu que nous soyons bénis et appelés tous les 2 au sacrement du mariage, conduis-nous sur cette voie. Si ce n'est pas la volonté de Dieu, mais la paix dans notre cœur et choisis toi-même mon futur époux et sa future épouse. Ô Maman Marie conçue sans péché, prie pour nous qui avons recours à toi ! » (Elodie).

« Mes intentions de prière pour ce mois Marial: « Que Dieu m'aide à débloquer ma situation ma situation financière. Qu'il me trouve un bon boulot qui me permettra d'assurer l'éducation des mes enfants, bref le boulot qui permet de suffire aux besoins de ma famille. Que mes dossiers du parquet avec mes anciens Employeurs puissent trouver des bonnes solutions par la grâce de notre Dame de Médaille Miraculeuse et que ça ne soit pas ma volonté mais celle de notre Dieu. Merci et bonne prière ». (Jean-Pierre).

« Pour que la Vierge par l'intercession de Sainte Catherine apporte une leur de spiritualité dans ma vie sentimentale.Je souhaite de tout mon cœur ne plus vivre dans l’infidélité car je ne peux communier. Qu'il soit convertit et sache que le concubinage n'est pas une bonne chose. Que spirituellement il agit et réfléchisse et qu'elle nous rende visite. Je lisais encore les recommandations les recommandations sur les sacrements de réconciliation et l'eucharistie, je souhaite que les choses s’améliore pour nous. Je prie de vivre dans la chrétienté avec lui c'est mon désir et qu'il soit convertis ». (Smile).

« Prions le Seigneur par l'intercession de la Vierge par sa Médaille miraculeuse afin qu'il nous aide à avoir un enfant dans notre foyer depuis notre mariage religieux et que la dette qui nous étouffe à ce jour soit allégée et payer tout doucement. que les enfants adoptifs que nous avons dans notre maison trouvent leur épanouissement, la santé et la foi en Dieu. Que les âmes du Purgatoire reposent en paix ». (Paul).

« Je vous salue dans le saint nom de Jésus. Pour la conversion de mon mari. pour la conversion de mes frères. Je vous demande de prier pour la guérison de ma nièce Inès. Mon neveu Sami. Mon Neveu Yann qui à 10 ans et demi et qui a perdu la voix. Pour le voyage de mon petit frère Emmenuel J. et le voyage de mon fils, que la grâce du tout puissant soit sur vous que la Vierge Marie vous comble de ses bienfaits j'aime la fille de l'éternel Dieu. La paix du Seigneur soit avec vous. priez pour la paix dans mon foyer et l'amour entre moi et mon mari merci ». (Caroline).

« Comment te remercier pour ces merveilles! Je te dit tout simplement : « Merci maman Marie pour la qualité de vie que ton fils et toi offrez à ma famille ici bas ». jamais tu ne m'as jamais rien refusé, tu as toujours été là pour moi alors maman je ne cesserai jamais de t'implorer car je sais tu m'aimes et je suis ta fille à qui d'autre irais je ? Tu es ma mère, ma protectrice, alors en ce mois qui t'est dédié chère Maman je te supplie de tourner ton regard maternel et bienveillant sur ton fils Patrick Olivier dont tu as bien voulu me confier la garde, permets par tes prières à notre Seigneur Jésus-Christ que la providence l'accompagne dans ses examens: Baccalauréat et concours d'entrée dans une école polytechnique du pays ! Vierge miséricordieuse bénie j'implore ton secours et ton assistance prie pour nous qui avons recours à toi car en notre Seigneur Jésus-Christ, nous avons totalement confiance ! Merci ». (Solange).

« Vierge Marie je vous demande de prendre sous votre guidance et protection notre fils Stéphane afin qu'il sorte de tous ces soucis dans lesquels il se trouve soucis financiers dus à une mauvaise gestion il était trop jeune pour se lancer dans la vie, demandez pour lui à Jésus de le corriger dans l'amour de l'éduquer dans la droiture de le rendre aux joies de votre Sainte famille protégez aussi son papa qui fait tout ce qu'il peut pour l'aider je vous confie aussi nos deux autres enfants et leur foyer merci Maman du ciel Merci Seigneur ». (Stéphane).

« Mon Dieu je te demande de libérer Victor qui es malade, il est interné depuis 22 jour il souffre beaucoup, je te demande de le guérir car il est déprimé sans force sans courage, Je t'en supplie mon Dieu aies pitié de lui ». (Antoine).

« Maman Marie, accorde-moi la grâce de tomber enceinte et d’être une mère douce et généreuse conduisant ses enfants sur le chemin de la Foi. Amen ». (Perpétue).

« Sainte Vierge Marie, je te prie pour ma santé, merci Marie. Sainte Vierge Marie, Notre Mère, je te prie pour l’unité dans ma famille. Sainte Vierge Marie, je mets entre tes mains ma famille et je te demande de tourner vers Dieu Notre Père et vers Jésus Notre Frère et sauveur mon père ainsi que mes neveux et nièce. Sainte Vierge Marie, Notre Mère, je te prie pour toutes les âmes du purgatoire et spécialement pour ceux qui meurent seuls, ceux qui ne croient pas, ceux pour qui personne ne prie, et pour mon frère et tous les membres défunts de ma famille. Je demande à Notre Mère, la Sainte Vierge Marie de m’aider à construire ma maison, où je souhaite y honorer l’image de la Sainte Famille. Sainte Vierge Marie, chère Maman, je vous demande de protéger notre belle terre, les végétaux et tous les animaux du monde que nous, les hommes, détruisons ». (Maria).

« J'ai profondément et avec confiance besoin de l'intercession de la Très Sainte Vierge Marie, restée vierge après la naissance du Seigneur Jésus : aidez-moi a résoudre Les problèmes qui m'accablent depuis des mois, j'ai la certitude que la solution ne peut que venir de la très sainte vierge Marie. Ainsi soit il ». (Matysco).

 

Important

 

N'oubliez pas, surtout, chaque jour, de porter la Médaille Miraculeuse, car c'est le canal privilégié par lequel Marie distribue ses grâces (vous aurez l'occasion de pouvoir le vérifier tout au long de ce mois), de réciter au minimum, 1 notre Père, trois je Vous salue Marie, 1 Gloire au Père, et trois fois l'invocation : « O Marie conçue sans péchés, priez pour nous qui avons recours à Vous ». Si cela vous est possible, accédez aux Sacrements de l'Eucharistie et de la Réconciliation, au moins chaque semaine pour l'Eucharistie et suivant vos disponibilités pour le Sacrement de Réconciliation. Cela est très important. L'Eucharistie est le centre de toute vie spirituelle et le Sacrement de Réconciliation est la toilette de l'âme...

Les récits des grâces obtenues seront publiés au fur et à mesure et transmis à la Chapelle de la Médaille Miraculeuse à la fin du Mois de Marie.

 

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