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  • La beauté élève l'âme... Par ces images volontairement sélectionnées, ainsi que par la récitation de ces prières, puissiez-vous avoir le désir de parvenir à Jésus et à la sainteté, but ultime de toute vie...
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29 novembre 2013

Retraite de Consécration à la Sainte Trinité par Marie 25/33

Retraite de Consécration à la Sainte Trinité par Marie

33 jours pour se consacrer à la Très Sainte Trinité par les mains de Marie

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Vingt-cinquième jour

Quatrième jour à l'ombre du Saint Esprit

La Consolatrice épouse du Consolateur

Consécration à la consolatrice des Alligés

 

Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit. Amen.

 

Invocation au Saint Esprit

 

Roi Céleste, consolateur,

Esprit de Vérité,

Toi qui es partout présent,

et qui remplis tout.

Trésor de biens et donateur de Vie,

viens et demeure en nous,

purifie-nous de toute souillure

et sauve nos âmes,

Toi qui es Bonté.

(Liturgie Byzantine)

 

Je crois en Dieu, une dizaine de Chapelet aux intentions de la Sainte Vierge.

 

Parole de Dieu

 

Deuxième Lettre aux Corinthiens 1, 3-5

 

« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père plein de Tendresse, le Dieu de qui vient tout réconfort. Dans toutes nos détresses, Il nous réconforte ; ainsi, nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse, grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu. De même que nous avons largement part aux Souffrances du Christ, de même, par le Christ, nous sommes largement réconfortés ».

 

Livre d'Isaïe 66, 10-14

 

« Réjouissez-vous avec Jérusalem, exultez à cause d'elle, vous tous qui l'aimez ! Avec elle soyez pleins d'allégresse, vous tous qui portiez son deuil ! Ainsi vous serez nourris et rassasiés du lait de ses consolations, et vous puiserez avec délices à l'abondance de sa gloire. Voici ce que dit le Seigneur : Je dirigerai vers elle la paix comme un fleuve, et la gloire des nations comme un torrent qui déborde.Vous serez comme des nourrissons que l'on porte sur son bras, que l'on caresse sur ses genoux. De même qu'une mère console son enfant, moi-même je vous consolerai,dans Jérusalem vous serez consolés. Vous le verrez, et votre cœur se réjouira ; vos membres, comme l'herbe nouvelle, seront rajeunis. Et le Seigneur fera connaître sa puissance à ses serviteurs ».

 

Saint Jean 11, 32-44

 

« Marie arriva à l'endroit où se trouvait Jésus ; dès qu'elle le vit, elle se jeta à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si Tu avais été là, mon frère ne serait pas mort ». Quand il vit qu'elle pleurait, et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi, Jésus fut bouleversé d'une émotion profonde. Il demanda : « Où l'avez-vous déposé ? » Ils lui répondirent : « Viens voir, Seigneur ». Alors Jésus pleura. Les Juifs se dirent : « Voyez comme il l'aimait ! » Mais certains d'entre eux disaient : « Lui qui a ouvert les yeux de l'aveugle, ne pouvait-il pas empêcher Lazare de mourir ? » Jésus, repris par l'émotion, arriva au tombeau. C'était une grotte fermée par une pierre. Jésus dit : « Enlevez la pierre ». Marthe, la soeur du mort, lui dit : « Mais, Seigneur, il sent déjà ; voilà quatre jours qu'il est là ». Alors Jésus dit à Marthe : « Ne te l'ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ». On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, je Te rends grâce parce que Tu M'as exaucé. Je savais bien, Moi, que Tu M'exauces toujours ; mais si j'ai parlé, c'est pour cette foule qui est autour de moi, afin qu'ils croient que tu m'as envoyé ». Après cela, il cria d'une voix forte : « Lazare, viens dehors ! » Et le mort sortit, les pieds et les mains attachés, le visage enveloppé d'un suaire. Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller ».

 

Message de Marie à Medjugorje du 25 février 1991

 

« Chers enfants, aujourd'hui Je vous demande de vous décider pour Dieu, car l'inquiétude de vos cœurs produit comme fruit l'éloignement de Dieu. Dieu est la Paix même, c'est pourquoi approchez-vous de Lui par la prière personnelle. Ensuite, vivez la paix dans vos cœurs. De cette façon la paix de votre cœur coulera comme un fleuve sur le monde entier. Ne parlez pas de la paix, mais faite la paix ! Je bénis chacun d'entre vous et chacune de vos bonnes décisions. Merci d'avoir répondu à Mon appel ».

 

Méditation

 

« Vous qui m'avez engendré, faites-moi miséricorde ! À chaque fois que nous constatons plus précisément notre misère : après une faute, dans la maladie ou l'impuissance. Quand tout manque ou que tout nous menace, levons les yeux pleins de larmes et de « désespoir » vers notre Mère : Vous qui m'avez engendré, ayez pitié de moi ! Et attendons avec assurance son intervention toute-puissante. Jamais une mère n'a résisté aux cris et aux larmes de son petit, si ingrat fût-il précédemment. Crions vers elle, surtout pour qu'elle nous apprenne à aimer l'Amour. Avec cette confiance, nous garderons toujours notre calme au milieu de vicissitudes, et ce calme glorifie notre Mère : « Du calme, mon enfant, tu auras des peines, mais Je suis là !... » La cause profonde de la Passion du Christ est le jugement humain s'insurgeant contre la Sagesse Incarnée... La Vierge a assisté à ce drame. Son Fils et son Dieu en butte à la contradiction ! Contradiction dont Elle a porté le poids toute sa vie. Même avec les joies de la la Résurrection. Celui qui se met bravement à l'école de la Sagesse est le véritable consolateur de Jésus et de Marie, il fait pour sa part cesser la contradiction. Et la Passion du Christ se change en joie profonde et pour lui et pour son Divin Maître, et pour Sa Mère, heureux d'aimer et de s'immoler pour l'Amour, qu'Il est ».

(Père Gabriel Jacquier, la Vie Mariale, Les Carnets Noirs »)

 

« La mission maternelle de la Vierge pousse le Peuple de Dieu à se tourner avec une confiance filiale vers Celle qui est toujours prête à l’exaucer avec une affection de mère et un secours efficace d’auxiliatrice. le Peuple de Dieu a donc pris l’habitude de l’invoquer comme Consolatrice des affligés, Salut des malades, Refuge des pécheurs, pour obtenir dans les tribulations le réconfort, dans la maladie le soulagement, dans la faute la force libératrice ; parce que, libre du péché, elle conduit ses fils à vaincre le péché avec une résolution énergique. Et cette libération du péché et du mal (cf. Mt 6, 13), il faut le réaffirmer, est la première étape nécessaire de tout renouveau de la vie chrétienne ».

(Paul VI, Marialis Cultus, n°57)

 

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Prières

 

Prière consécratoire

 

Marie, Mère de toutes les douleurs – car Tu les connus toutes, tant Ton âme était unie à Celle de Ton Fils lorsqu'Il pleura sur Lazare dont la chair était corrompue à cause de l'affliction d'Adam – Marie qui T'affligeas avec toutes les filles de Jérusalem sur le Temple et sur les enfants de Ton Peuple, Marie qui éprouvas aussi les larmes de Sang à l'heure de l'Agonie, Tu éprouvas aussi les larmes de Feu de l'Esprit lors de la première Pentecôte et connus la plénitude de la consolation. Je me consacre à Ton Cœur Immaculé irradiant la douce lumière de toutes les consolations de l'Esprit. Ô Consolatrice, épouse du Consolateur, je me consacre à Ton infinie Tendresse. Ô mon Avocate qui me défends de toutes les accusations du démon, motivées par la multitude de mes péchés, ô Mère dont l'Amour donne toujours raison à ses enfants, je me consacre à Ton Cœur très Tendre pour devenir un autre consolateur, en fils très ressemblant de sa mère.

 

Antienne

 

Il faut pour qu’un enfant puisse chérir sa mère,

Qu’elle pleure avec lui, partage ses douleurs.

O ma Mère chérie, sur la rive étrangère,

Pour m’attirer à toi, que tu versas de pleurs !…

En méditant ta vie dans le saint Evangile,

J’ose te regarder et m’approcher de toi.

Me croire ton enfant ne m’est pas difficile

Car je te vois mortelle et souffrant comme moi...

(Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, Poésie « Pourquoi je t'aime, ô Marie »)

 

Psaume 46 (45)

 

Dieu est pour nous refuge et force,

secours dans l'angoisse toujours offert.

Aussi ne craindrons-nous si la terre est changée,

si les montagnes chancellent au cœur des mers,

lorsque mugissent et bouillonnent leurs eaux

et que tremblent les monts à leur soulèvement.

Avec nous le Seigneur Shabbaot,

citadelle pour nous, le Dieu de Jacob !

 

Un fleuve ! Ses bras réjouissent la cité de Dieu,

il sanctifient les demeures du Très-Haut.

Dieu est en elle ; elle ne peut chanceler,

Dieu la secourt au tournant du matin ;

des peuples mugissaient,

les royaumes chancelaient,

il a élevé la voix, la terre se dissout.

Avec nous le Seigneur Shabbaot,

citadelle pour nous, le Dieu de Jacob !

 

Allez, contempler les hauts faits du Seigneur,

Lui qui rempli la terre de stupeurs.

Il met fin aux guerres jusqu'au bout de la terre

l'arc, il l'a rompu, il a brisé la lance,

il a brûlé les boucliers au feu.

Arrêtez, connaissez que Moi Je suis Dieu,

exalté sur les peuples, exalté sur la terre !

Avec nous le Seigneur Shabbaot,

citadelle pour nous, le Dieu de Jacob !

 

Prière « Ad Libitum » : Priez Marie avec un texte de votre choix comme par exemple les Litanies, le Souvenez-vous, ou encore une oraison jaillie du cœur...

Invocation : O Marie Reine de la Paix et de la Réconciliation, priez pour nous et pour le monde ».

 

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Textes extraits du livre « Retraite de Consécration à la Sainte Trinité par Marie », aux Editions des Béatitudes, pour commander le livre, cliquer ICI

 

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