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  • La beauté élève l'âme... Par ces images volontairement sélectionnées, ainsi que par la récitation de ces prières, puissiez-vous avoir le désir de parvenir à Jésus et à la sainteté, but ultime de toute vie...
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29 décembre 2018

L’Avent avec Sainte Gertrude de Hefta

L’Avent avec Sainte Gertrude de Hefta

 

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Fête de la Sainte Famille

Dimanche

Jésus et sa mère

 

Jésus offrit son coeur à Marie en disant : « Ô Mère très aimée, voici Mon coeur dans la surabondance de sa joie totale. Voici, en lui, cette plénitude de divine tendresse qui depuis toujours m’a fait te préférer à toute créature, te créer, te sanctifier, te choisi pour Ma Mère. En lui, la parfaite douceur et bénignité avec lesquelles Je t’ai caressée, alors que petit enfant tu Me réchauffais sur ton sein et que Tu m’allaitais. En lui, l’entière fidélité de Ma filiale affection qui t’obéissait en tout comme un fils à sa mère, alors que Je régissais le Ciel... » (Héraut de l’Amour Divin V-XXXI, 1).

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« Prie le Seigneur de t’introduire à l’école d’amour où tu apprendras à connaître et à aimer Jésus : Ô Dieu d’amour, ouvre-moi dès maintenant l’école d’amour afin que là je reçoive ton très très cher enseignement, et par toi j’aie une âme non seulement bonne, mais en vérité sainte et parfaite » (Exercices V).

 

Parole de Dieu : « Les bergers trouvèrent Marie et Joseph avec le nouveau-né couché dans une crèche » (Luc 2, 16).

 

Dans ma vie

 

Saint Joseph, absent des Litanies des Saints dans les Exercices n’apparaît qu’une fois dans le Héraut de l’Amour Divin. En une fête de l’Annonciation, « lorsque le Bienheureux Joseph à qui la Vierge a été fiancée, tous les Saints inclinent la tête en son honneur, tandis que leurs regards affectueux lui sourient, pleins de joie pour sa dignité (Héraut IV-XII, 5). Nous qui avons la chance de le vénérer non seulement comme Époux de Marie, mais aussi comme « Protecteur de la Sainte Eglise », n’oublions pas le rôle éminent du « Patriarche du Silence » dans la « garde des mystères du salut ».

 

Résolution : Je cherche à rendre service autour de moi, en famille ou en paroisse. Je me rends disponible pour les autres en les faisant passer avant mes petits impératifs.

 

Avant l’Epihanie

 

Lundi

Ferveur eucharistique

 

Le Seigneur vient de montrer à Gertrude comment la gloire de l’âme s’accroît par la fréquente réception de l’Eucharistie ; aussi soupire-t-elle : « Combien me dépasseront dans la gloire les prêtres qui communient tous les jours ! » Il lui explique alors qu’une ferveur plus grande et la pureté de la préparation compensent une participation moins fréquente au banquet eucharistique. Et que le prêtre qui célèbre les Saints Mystères avec routine ne peut prétendre à la même récompense… La qualité de désir et d’amour de Dieu peut donner à une communion spirituelle la même grâce que par le Sacrement » (cf Héraut de l’Amour Divin III-XXXVI-XXXVIII).

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« Chaque fois qu’un homme contemple, avec désir et dévotion, l’Hostie où se cache sacramentellement le Corps du Christ, chaque fois il augmente ses mérites pour le Ciel. En effet, quand il verra Dieu dans l’éternité, il goûtera des délices particulières pour toutes les fois où il aura ainsi contemplé le Corps du Christ, ou seulement souhaité le voir » (Héraut de l’Amour Divin IV-XXV, 8).

 

Parole de Dieu : « Je poserai sur toi la force de mon regard » (Psaume 31, 8 Vg).

 

Dans ma vie

 

Au XIIIe siècle, l’exposition du Saint Sacrement n’est pas pratiquée. C’est à la Messe, à la Consécration lors de l’élévation, que Sainte Gertrude regarde l’Hostie et le Calice. Jésus lui explique la puissance de son regard « qui efface toutes les taches de l’âme et la rend plus blanche que neige. Comme la chaleur du soleil amollit la cire, il attendrit l’âme, la disposant ainsi à recevoir les dons spirituels. Son regard suscite en elle la floraison d’une variété de vertus, comme le soleil rend féconde la terre... » Avec pleine confiance exposons-nous à ce regard en adorant le Saint Sacrement.

 

Résolution : Je décide d’aller dans une église prier Jésus au tabernacle où, bien que caché, Il est réellement présent. Je le remercie de tous les bienfaits dont Il me comble.

 

Sainte Marie, Mère de Dieu

Mardi

Mère de Jésus, Mère de Dieu

 

Lors du chant d’un répons de Noël, « le Seigneur se rappela la condescendance pleine d’amour qui l’avait fait descendre du sein du Père et entrer, par les entrailles d’une Vierge inviolée, en notre misérable exil. Comme liquéfié d’amour à ce souvenir, il fixa sur la Vierge, sa Mère, un regard souriant, doux comme la plus affectueuse caresse et capable de la faire tressaillir jusqu’au plus profond d’elle-même. Puis il lui donna un baiser très doux qui renouvela pour elle, comme en les répétant, toutes les joies dont Sa très Sainte Humanité l’avait comblée sur terre » (Héraut IV-III, 3).

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« Le sein immaculé de la Vierge glorieuse apparut alors, aussi transparent qu’un cristal très pur à travers lequel ses entrailles, traversées de part en part et toutes remplies de la divinité, en rayonnaient l’éclat. On voyait le tout petit enfant, en son printemps, Lui, l’Unique du Père, trouver ses délices à puiser avidement la vie au coeur de la Vierge sa Mère » (Héraut IV-III, 4).

 

Parole de Dieu : « Lorsque les temps furent accomplis, Dieu a envoyé Son Fils ; Il est né d’une femme » (Galates 4, 4).

 

Dans ma vie

 

« Très doux ami, daignez souhaiter la nouvelle année à votre chère communauté. – Renouvelez votre esprit et votre pensée, répond le Seigneur. Et Gertrude : « Que votre bonté, ô très miséricordieux, n’oublie pas en ce jour de Votre Circoncision, de retrancher nos défauts à toutes. - Que l’observance de votre règle vous serve de circoncision !… Si quelqu’un, en ce jour de l’An, s’applique à désavouer par une authentique contrition du coeur ses manquements, Je serai pour lui comme un maître très bon qui prend son élève préféré pour lui apprendre à lire » (Héraut de l’Amour Divin IV-V, 3). Bonne année avec l’Evangile pour règle !

 

Résolution : Je vais à la Messe, si possible en famille, pour offrir mon année au Seigneur par les mains de la Mère de Dieu fêtée aujourd’hui.

 

Mercredi

L’ultime appel

 

Gertrude parle de la mort comme du « jour de la vocation ». Elle entend Jésus appeler Sainte Mechtilde, le jour de sa mort, avec les mots mêmes de la grâce spéciale par laquelle Il lui avait fait le don insigne de son coeur ; ses derniers moments furent donc vécus comme un mémorial de sa vocation. Sainte Gertrude relate la mort de son abbesse, Dame Gertrude, comme la fête de la rencontre : « Voici que maintenant je vais te posséder dans le baiser de ma tendresse, lui dit Jésus avant de la présenter au Père. Et aussitôt son âme s’élève dans une jubilation d’incomparable suavité » (Héraut de l’Amour Divin V-I, 23).

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« Lorsque je vois à l’agonie des êtres qui se sont plu parfois à penser à moi ou ont accompli quelques œuvre méritoire, fût-ce à l’approche de la mort, je me révèle à eux dans tout l’attrait de ma tendre bonté, de sorte que, du fond du coeur, ils se repentent de m’avoir offensé et c’est ce repentir qui les sauve » (Héraut de l’Amour Divin III-XXX, 29).

 

Parole de Dieu : « La preuve que Dieu nous aimes, c’est que le Christ, alors que nous étions encore pécheurs, est mort pour nous » (Romains 5, 8).

 

Dans ma vie

 

En digne fille de Saint Benoît, Gertrude, sans nulle crainte ni tristesse, « a chaque jour la mort devant les yeux » ; elle la perçoit comme l’accomplissement dynamique de son amour du Christ. Dans le livre V du Héraut, recueil de témoignages sur des défunts, elle parle souvent de la nécessité d’une ultime purification ; le Purgatoire, pour elle, n’a rien d’un lieu de torture ! « L’âme, en effet, y attend avec joie sa consommation. Elle ressemble à une jeune fille qui, en voyant dans les mains de sa mère les bijoux qui doivent la parer le lendemain, se réjouit dans l’attente de ce jour.

 

Résolution : J’imite Sainte Gertrude qui aidait les âmes du Purgatoire autant par son intercession que par des bonnes œuvres. Je récite la Prière « Âme du Christ », en disant consciemment « à ma mort, appelle-moi ! » :

 

« Âme du Christ, sanctifie-moi, Corps du Christ, sauve-moi, Sang du Christ, enivre-moi, Eau du côté du Christ, lave-moi, Passion du Christ, fortifie-moi. Ô bon Jésus, exauce-moi. Dans tes blessures, cache-moi. Ne permets pas que je sois séparé de toi. De l’ennemi défends-moi. À ma mort appelle-moi. Ordonne-moi de venir à toi, Pour qu’avec tes saints je te loue, Dans les siècles des siècles, Amen ».

 

Jeudi

La mort de Gertrude

 

Gertrude, pour se préparer à la mort, a pris l’habitude de se retirer le vendredi, à l’heure de None, pour s’approprier la prière des agonisants. « Un vendredi, le Seigneur lui fait voir à l’avance – en une sorte d’extase spirituelle – combien sera béni son passage hors de ce monde lorsqu’il daignera lui faire entendre son appel ». La Sainte Vierge, tous les Saints des Litanies viennent à son devant et, en guise de présents, la comblent avec bienveillance de leurs vertus… Enfin, « le Roi de gloire s’incline lui-même avec une inestimable tendresse comme pour lui donner un baiser... » (Héraut de l’Amour Divin V-XXXII, 8).

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« À l’heure de ma mort, secours-moi par toutes les entrailles de Ta Miséricorde, et réjouis-moi d’une grande joie, en me montrant Ton Visage, Seigneur. Au jour du jugement, que mon âme n’ait pas à redouter une parole de reproche ; mais fais-moi entendre Ta voix glorieuse : Venez les bénis de Mon Père » (Exercices III).

 

Parole de Dieu : « Qui nous séparera de l’amour du Christ ? Ni la mort, ni la vie, ni le présent, ni l’avenir…. » (Romains, 3, 35, 38).

 

Dans ma vie

 

Une confiance totale en « la libéralité et la tendresse du Seigneur » accompagne la sainte liberté de Gertrude. Elle a l’assurance que « l’amour divin consumera toutes ses forces et que la mort ne triomphera d’elle que par la même violence d’amour qui causa celle de Jésus ». Sa foi pressent la joie de la vie éternelle comme le prolongement absolut de « l’étreinte eucharistique ». N’ayons donc peur que de ce qui peut nous séparer de Dieu ! Regardons, écoutons Jésus, le Fils unique du Père, né à Bethléem pour nous le faire connaître.

 

Résolution : je passe cette journée dans la prière et la Charité. J’aide donc de tout mon coeur la première personne qui me demande un service en suivant ce conseil de l’Evangile repris par Saint Benoît : « à quiconque demande de faire un mille, fais en deux ! ».

 

Vendredi

Pourquoi le Héraut ?

 

Que motif poussa Gertrude à révéler à autrui la confidence de ses « fréquent entretiens avec le Seigneur de Majesté » et des grâces insignes reçues ? « Elle se jugeait complètement indigne des dons de Dieu qu’elle ne pouvait en aucune manière les croire accordés pour elle seule, mais pour le profit des autres » répond sa biographe. « Je t’ai donnée pour être la lumière des nations et pour être mon salut jusqu’aux extrémités du monde » dit le Seigneur à Gertrude pour l’encourager à rédiger le Livre II du Héraut.

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« Un jour, en méditant, Gertrude prit conscience de sa misère intérieure… Elle se demandait comment il lui serait possible de plaire à Dieu qui voyait en elle toutes ses souillures ; et là où elle ne se découvrait qu’une tache, le divin et pénétrant regard en apercevait une infinité. Elle fut divinement consolée par cette réponse : « L’amour rend aimable ! » (Héraut de l’Amour Divin III-XXX, 30).

 

Parole de Dieu : « Celui sur qui Je jette les yeux, c’est le pauvre et le coeur contrit » (Isaïe 66, 2).

 

Dans ma vie

 

Pour aller à Jésus, passion par le « pont » qu’est Gertrude, puisque c’est le désir du Seigneur. Gertrude n’a rien d’un gourou, sa doctrine est celle de l’Evangile. Lisons-là : par elle nous entendons la voix du Fils, doux et humble de coeur, nous respirons le parfum du bien-aimé. « Si quelqu’un vient à moi d’un coeur humilié, et, par amour de mon amour fait (du héraut) sa lecture, Je lui montrerai en détail dans mon coeur les passages qui lui seront utiles » a promis Jésus à Gertrude. Essayez donc !

 

Résolution : je choisis, selon mon attrait, mon âge et mon état, l’un des exercices de Sainte Gertrude ; je le fais en m’arrêtant là ou cela fait « tilt » et je prie la Sainte « pour goûter la joie de la présence et l’action du Seigneur en moi ». (Retrouvez le texte de ces exercices en cliquant ICI).

 

Samedi

Quelques noms du Seigneur

 

« Il m’est bon, mon bien-aimé de m’attacher à Vous seul ». La prenant dans ses bras, le Seigneur lui dit : « Il m’est doux aussi, toujours, ma bien-aimée, de m’attacher à toi ». Puis elle dit de toute l’ardeur de son désir : « Toute infirme et vile créature, je Vous salue mon très aimant Seigneur ». Et le Seigneur : « Je te salue à mon tour, ma très aimante ». Gertrude comprit alors que si une âme dit à Dieu : « Mon bien-aimé, mon très doux, mon très aimant » et autres titres semblables dans un élan de vive dévotion, Dieu lui répondra dans les mêmes termes. (Héraut de l’Amour Divin III-XXIX, 1-2).

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« Vous êtes Fleur printanière de la Beauté Première,

Ô frère d’infinie tendresse,

Adolescent d’infinie beauté,

Compagnon de gaieté infinie,

Hôte d’infinie munificence,

Diacre d’infinie courtoisie ». (Héraut de l’Amour Divin III-LXV).

 

Parole de Dieu : « Du lever du soleil à son coucher, loué soit le Nom du Seigneur » (Psaume 112, 3).

 

Dans ma vie

 

Jésus est apparu pour la première fois à Gertrude sous l’aspect séduisant d’un adolescent de 16 ans, plein de charme. À cet adolescent très beau, « d’une jeunesse printanière, florissante », elle donne par la suite ces doux noms : « Ô Ami des hommes, Très aimant Sauveur, Ô très doux Amant, Perle vivifiante de divine noblesse, Fleur jamais fanée d’humaine beauté... » Le 3 janvier, nous avons fait mémoire du Saint Nom de Jésus, célébration remise à l’honneur par Saint Jean Paul II. Aimons répéter le Nom de Jésus que lui donna Marie et qu’explicita l’ange à Joseph : « car c’est Lui qui sauvera son peuple de ses péchés ».

 

Résolution : Je récite aujourd’hui les Litanies du Saint Nom de Jésus. Si je n’ai pas sous la main ou trouver, je m’en formule moi-même : « Jésus ma joie, mon amour, désir de mon coeur... » et je les prie, si possible devant la crèche.

 

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Epiphanie du Seigneur

Dimanche

 

En cette fête solennelle, Gertrude offre sur le modèle de l’offrande des rois, en guise de myrrhe le Corps du Christ avec toutes les souffrances de Sa Passion, pour effacer les péchés de tous, depuis Adam jusqu’au dernier des hommes. En place d’encens, l’âme du Christ, pleine de dévotion, pour suppléer aux négligences de tout l’univers. En guise d’or, la très parfaite divinité du Christ, avec les délices dont elle jouit, pour suppléer aux négligences de toutes les créatures. Le Seigneur lui apparaît alors présentant cette offrande, comme des étrennes, à la toujours adorable Trinité (Héraut de l’Amour Divin IV-VI, 1).

 

À l’école de Sainte Gertrude

 

« Se prosternant ils l’adorèrent et ouvrant leurs trésors… Stimulée par l’exemple des mages, Gertrude se leva dans la ferveur de son esprit et se prosterna avec une très humble dévotion aux pieds très Saints du Seigneur Jésus, l’adorant au nom de toute ce qu’il y a au Ciel, sur terre et dans les enfers » (Héraut de l’Amour Divin IV-VI, 3).

 

Parole de Dieu : « Les rois de Tarsis et des îles emporteront des présents : tous les rois se prosterneront devant Lui » (Psaume 71, 10).

 

Dans ma vie

 

Gertrude en offrant comme présents le corps, l’âme et la divinité du Christ accomplit exactement ce que demande la prière sur les offrandes de cette fête : « Regarde les dons de Ton Eglise, qui ne T’offre plus ni l’or, ni l’encens, ni la myrrhe, mais celui que ces présents révélaient, qui s’immole et se donne en nourriture : Jésus, le Christ ». Une fois de plus, admirons sa sage théologie spirituelle puisée dans la liturgie. Selon un noël : Élevons la pensée, à Dieu qui a conduit nos pas cette journée, voici venir la nuit… Offrons nos corps, nos âmes à notre créateur.

 

Résolution : En l’anniversaire de la naissance de Sainte Gertrude, le 6 janvier 1256, confions-lui tous nos désirs et requêtes ; son intercession si grande à tout pouvoir pour nous combler par le coeur de Jésus !

 

Textes extraits du Hors Série de Parole et Prière « Mon Avent avec Sainte Gertrude de Hefta » publié en 2014

 

Fin de l’Avent avec Sainte Getrude de Hefta

 

Pour approfondir

Vous pouvez consulter les écrits de Sainte Gertrude, en ligne, sur les liens suivants :

 

Le Héraut de l’Amour Divin, en cliquant ICI

Les Exercices de Sainte Gertrude, en cliquant ICI

 

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Téléchargez le texte des méditations de cette semaine (pdf) en cliquant ici

Téléchargez l’intégralité des méditations de l’Avent avec Sainte Gertrude de Hefta (pdf) en cliquant ici

 

Rendez-vous le 28 février pour le Mois de Saint Joseph...

 

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