O Filii et filiae
O Filii et filiae
Yann-Fañch Kemener (1957-2019)
Extrait de Kan ar Basion - Les Chants de la Passion
Disponible chez Buda Records, 2015
Klevet holl vugale Doué
Roue ar Zent hag an aele
A varo ’zo deut be’ hirie. Allelouia
Madelen, ganti div all c’hoaz
Euz ar be’ zantel pa dostaz,
Digor ha goulo de c’havas. Allelouia
Kentis ma klevjont an doare,
Daou abostol trezek ar be’
Buanan ma c’hellent a rede. Allelouia
Mab an diskib muian karet
Primoc’h ’vit Per an eus redet
Pa n’eus gwellet an eus kredet. Allelouia
Un ael gwenn eno azeet,
A respont d’ar grwage nec’het
Ema Jezus ressusitet. Allelouia
Er zal dek deus an esbestel
En e zav dirak-he hen gwel :
« Peoc’h emezan, dac’h tud fidel ! » Allelouia
An neventi pan he c’hievas
Un abostol hanveet Tomas
Disfius a chomas. Allelouia
Zelet Tomas, setu aze
- Ma zreid, ma daouarn, ma c’hoste,
Hang anzavet ar wririone. Allelouia
Pa welas Tomas ar goulioù
A zo merket en e vamproù
- C’hwi emezan eo ma otroù ! Allelouia
E’vrus ar re an eus kredet
Hep kaout ezom da welet,
An envoù deze zo roet. Allelouia
Ar goel-man kaer dreist peb hini
Ra vezo dre ol melodi
D’un Doue ken-mat ouzomp-ni ! Allelouia
Ia, o Jezus, ’vel ma tleomp
Eus ho karante’ evidomp
Mil drugare dac’h a ganomp Allelouia
Traduction
Ecoutez tous, enfants de Dieu :
Le Roi des Saints et des Anges
De la mort est ressuscité. Alléluia.
Madeleine et deux autres femmes
En s’approchant de la Sainte Tombe,
La trouvèrent ouverte et vide. Alléluia.
Aussitôt qu’ils entendirent la nouvelle,
Deux des Apôtres
accoururent en toute hâte. Alléluia.
Le fils du disciple le plus aimé
Est accouru plus vite que Pierre
Quand il a vu il a cru. Alléluia.
Un Ange blanc qui était assis
Répondit aux femmes tourmentées :
« Jésus est ressuscité ». Alléluia.
Dans la salle dix Apôtres
Debout devant eux le voit :
- « Paix sur vous mes fidèles », dit-il. Alléluia.
Quand il entendit la nouvelle,
Un Apôtre nommé Thomas
Resta méfiant. Alléluia.
Regardez Thomas, regardez là
- Mes pieds, mes mains, mon flanc
Et reconnaissez la vérité. Alléluia.
Quand Thomas vit les plaies
Dont ses membres était marqués :
- « Vous êtes mon Seigneur ! » Alléluia.
Heureux ceux qui ont cru
Sans avoir besoin de voir
Le Ciel leur sera accordé. Alléluia.
Cette fête par-dessus toutes
Mérite une louange universelle,
Pour un Dieu si bon à notre égard. Alléluia.
Oui, ô Jésus, comme nous le devons,
Pour votre amour envers nous
Nous te chantons mille fois merci. Allelluia.
Séquence de Sainte Elisabeth de Hongrie
Concinat Ecclesia
« Que l’Église loue »
Séquence Liturgique de Sainte Elisabeth de Hongrie
Interprétée par Ioculatores, Ars Choralis Coeln, Amarcord
Extrait de l'album "Vita S. Elisabeth",
sorti en 2007 chez le label Raum Klang.
Disponible chez tous les bons disquaires
La Séquence d’Elisabeth, issue d’un missel Franciscain
(Paris, Ravenne XIVe/XVe siècles)
Non seulement l’accent porté sur l’appartenance d’Elisabeth à l’Ordre des Franciscains indique que le poète faisait partie de l’Ordre des Frères Mineurs, mais également le début du texte, qui rappelle de façon évidente le « Concinat plebs fidelium » de la séquence de Sainte Claire. La forme mélodique suit la Séquence de la Pentecôte « Veni Creator Spiritus ». Cette séquence pleine d’entrain, fut souvent reprise dans la forme de la Messe « in honorem S. Elisabeth » du Pape Grégoire IX qui, à l’origine, ne comportait pas de séquence. Le description de la sainteté et des bonnes œuvres d’Elisabeth est suivie dans les derniers vers d’une prière fervente : « Détruis nos péchés et dirige nos pas vers les hauteurs du Ciel ».
Concinat Eccelsia
celebri memoria
Elisabeth hodie
quae in coeli curia
coronatur gloria
stirps regis Hungariae.
Que l’Église loue
de mémoire festive
Elisabeth aujourd’hui
qui dans la salle céleste
sera couronnée de la gloire de Dieu,
la souche du roi Hongrois.
Pro Francisci chordula
mantello, tunicula
purpuram deposuit ;
Sic fratrum discipula
minorum minicula
minima se praebuit.
Pour la cordelière de François,
la bure et la chemise,
elle a ôté la pourpre ;
la moindre des élèves
des Frères Mineurs
se montra la plus humble ;
De quorum consilio
sub Conrado studio
regulari voluit.
Tandem magisterio
multis facta lectio
stella mundo claruit.
Selon leurs conseils
elle voulut sous le zèle de Conrad
être disciplinée.
Enfin elle apparut après que,
du dresseur elle eût de nombreuses leçons reçu,
comme l’étoile du monde.
Leprosis obsequio
Languidis suffragio,
maestis fit in gaudium.
Pauperum refectio
fuit in hospitio
cunctis patens ostium.
Par son ardeur envers les pestiférés,
par son soutien aux faibles,
les affligés seront à la joie amenés.
Pour les pauvres une collation
était à l’auberge,
pour tous, la porte était ouverte.
Hospitalis domina
in tuorum agima
hospites nos elige !
Nostra dele crimina
et ad caeli culmina
pedes nostros dirige !
Patronne des asiles,
choisis-nous, étrangers,
dans ta suite ;
Détruis nos péchés
et guide nos pieds
vers les hauteurs du Ciel.
Téléchargez le texte de cette séquence (pdf) en cliquant ici
Le Cantique des Créatures de Saint François
Le Cantique des Créatures de Saint François d'Assise
Voici une très belle méditation du Cantique des Créatures de Saint François
J'ai le plaisir de vous faire partager ce très beau spectacle, rare, car introuvable et inexsitant en DVD: c'est une cassette vidéo datant de 1989 (la dernière que j'ai toujours gardée), que j'ai récemment fait numériser...
Saints Louis et Zélie Martin
Louis et Zélie Martin d'Alençon
envoyé par web-tv-diocesedeseez. - Rencontrez plus de personnalités du web.
L'Angelus Breton
L'Angélus Breton
V. Angelus Domini, nuntiavit Mariae
R/ Et concepit de Spiritu Sancto.
V. L’ange du Seigneur apporta l’annonce à Marie,
R/ Et elle conçut du Saint-Esprit.
Ni ho salud gant karantez Rouanez ar Sent hag an Aelez !
C'hwi a zo benniget, o pia ! Hag a c'hrasoù karget ! Ave Maria !
Nous Vous saluons avec amour Reine des saints et des anges !
Vous êtes bénie! O pieuse ! Et pleine de grâces ! Ave Maria !
(Me ho salud, Mari), leun a c'hras, An Aotrou Doue a zo ganeoc'h, benniget oc'h dreist an oll gwragez, Ha benniget eo ar frouez euz ho korv, Jezuz.
Santez Mari, Mamm da Zoue, Pedit evidom pec'herien, bremañ ha da eur or maro. Evel-se bezet graet.
(Ave Maria), gratia plena : Dominus tecum : benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventris tui, Jesus.
Sancta Maria mater Dei, ora pro nobis peccatoribus, nunc et in hora mortis nostrae. Amen.
(Je Vous salue Marie), comblée de grâce, le Seigneur est avec Vous, Vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de Votre sein est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.
V. Ecce ancilla Domini.
R/ Fiat mihi secundum verbum tuum.
V. Voici la Servante du Seigneur
R/ Qu’il me soit fait selon votre parole.
Ra vezo benniget Jezuz ! ar frouezh eus ho korf eürus !
Kanomp gant an aelez, o pia ! e veuleudi bemdez, Ave Maria !
Que soit béni Jésus ! Le fruit de votre corps bienheureux !
Chantons avec les anges ! O pieuse ! Ses louanges chaque jour, Ave Maria !
(Me ho salud, Mari), leun a c'hras, an Aotrou Doue a zo ganeoc'h, benniget oc'h dreist an oll gwragez, ha benniget eo ar frouez euz ho korv, Jezuz.
Santez Mari, Mamm da Zoue, Pedit evidom pec'herien, bremañ ha da eur or maro. Evel-se bezet graet.
(Ave Maria), gratia plena : Dominus tecum : benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventris tui, Jesus.
Sancta Maria mater Dei, ora pro nabis peccatoribus, nunc et in hora mortis nostrae. Amen.
(Je Vous salue Marie), comblée de grâce, le Seigneur est avec Vous, Vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de Votre sein est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.
V. Et Verbum caro factum est.
R/ Et habitavit in nobis.
V. Et le Verbe s'est fait chair.
R/ Et il a habité parmi nous.
Ni ho ped, Mari, gwerc'hez c'hlan pa vezimp war hon tremenvan
Da c'houlenn ouzh Jezuz, o pia ! Deomp ur marv eürus, Ave Maria !
Nous vous prions, Vierge pure ! À notre dernière heure,
De demander à Jésus, O pia ! De nous obtenir une mort heureuse, Ave Maria !
(Me ho salud), Mari, leun a c'hras, an Aotrou Doue a zo ganeoc'h, benniget oc'h dreist an oll gwragez, ha benniget eo ar frouez euz ho korv, Jezuz.
Santez Mari, Mamm da Zoue, pedit evidom pec'herien, bremañ ha da eur or maro. Evel-se bezet graet.
(Ave Maria), gratia plena : Dominus tecum : benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus ventris tui, Jesus.
Sancta Maria mater Dei, ora pro nabis peccatoribus, nunc et in hora mortis nostrae. Amen.
(Je Vous salue Marie), comblée de grâce, le Seigneur est avec Vous, Vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de Votre sein est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.
V. Ora pro nobis, sancta Dei Genetrix.
R/ Ut digni efficiamur promissionibus Christi.
V. Priez pour nous, sainte Mère de Dieu
R/ Afin que nous soyons rendus dignes des promesses du Christ.
Oremus
Gratiam tuam, quaesumus, Domine, mentibus nostris infunde ; ut qui, Angelo nuntiante, Christi Filii tui incarnationem cognovimus, per passionem eius et crucem, ad resurrectionis gloriam perducamur. Per Jésus Christum Dominum nostrum.
R/ Amen.
Prions
Que Votre grâce, Seigneur, se répande en nos cœurs. Par le message de l'ange, Vous nous avez fait connaître l'Incarnation de Votre Fils bien aimé, conduisez-nous, par Sa Passion et par Sa Croix jusqu'à la gloire de la Résurrection. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur.
R/ Amen.
Chant extrait de l'album
« Pèlerinage à Sainte Anne d'Auray, chants et cantiques populaires »
interprété par la Chorale du Petit Séminaire de Sainte Anne d'Auray,
Un album disponible en téléchargement
Téléchargez le texte de cette prière (pdf) en cliquant ici
Téléchargez la partition de cette prière (pdf) en cliquant ici
La Prière de Saint Patrick
Prière de Saint Patrick
Par Hélène Goussebayle
Je me lève aujourd'hui grâce à une force puissante :
L'invocation de la Trinité, la Foi en la Trinité,
La confession de l’Unité du Créateur du monde.
Je me lève aujourd'hui,
Par la force de Dieu pour me guider,
La puissance de Dieu pour me soutenir,
La sagesse de Dieu pour me diriger,
L'œil de Dieu pour regarder devant moi,
L'oreille de Dieu pour m'entendre.
La parole de Dieu pour parler pour moi,
La main de Dieu pour me garder,
Le chemin de Dieu pour me précéder,
Le bouclier de Dieu pour me protéger,
L'armée de Dieu pour me sauver,
Des tentations et de l'ennemi.
Christ avec moi, Christ devant moi, Christ derrière moi,
Christ en moi, Christ sur moi, Christ sous moi,
Christ à ma droite, Christ à ma gauche,
Christ en la largeur, Christ en la longueur, Christ en la hauteur,
Christ dans le cœur de qui pense à moi,
Christ dans tout œil qui me voit,
Christ dans toute oreille qui m'écoute.
Christ avec moi, Christ devant moi, Christ derrière moi,
Christ en moi, Christ sur moi, Christ sous moi,
Christ à ma droite, Christ à ma gauche,
Christ en la largeur, Christ en la longueur, Christ en la hauteur.
Je me lève aujourd'hui grâce à une force puissante :
L'invocation de la Trinité, la Foi en la Trinité,
La confession de l’Unité du Créateur du monde.
Au Seigneur est le salut,
Au Christ est le salut.
Que Ton salut Seigneur soit toujours avec nous.
Chanson extraite de l'excellent album « Louanges Celtiques »,
Disponible en téléchargement sur I Tunes et en écoute sur Deezer
et également sur le site d'Hélène Goussebayle : http://helenegoussebayle.fr/accueil/
O Anna mamm Mari
O Anna mamm Mari
Diskañ. O Anna Mamm Mari, ha galon ni ho ped,
Doh peb droug gouarnet ni, groiet ma vel oll salvet.
Refrain. Ô Anne, Mère de Marie, de tout cœur, nous te prions,
Garde-nous de tout mal, donne-nous le salut.
1. Joachim, Anna,um rejoeiset, reit zo deoh ur hrouèdur hep par,
Ho merhig e zo benniget, dreist en oll dud zo ar en douar.
Joachim, Anne, réjouissez-vous, vous avez une enfant incomparable,
Votre petite fille est bénie entre toutes les femmes.
2. Saùet ho penn ged leuiné, tud ag en douar, ne ouilet ket,
Rag a pe splann er goleu-dé e ma tost en héol de zoned.
Redressez la tête avec joie ! Ne pleurez pas, habitants de la terre,
Car lorsque se lève l’aurore, le soleil n’est pas loin.
3. Er verhig-man e zo choéjet, de voud Mam de salvér er bed,
Ha ged en oll é vo anùet, rouanéz en dud hag en Eled.
Cette petite fille est choisie pour être mère du sauveur du monde,
Par tous, elle sera nommée reine du monde et reine des anges.
4. O Mari, rozenn mistérius, nen des ennoh meid braùité ;
stirenn dreist en oll hugernus, hui e zigor splanndèr er dé.
O Marie, Rose mystique, il n'y a en toi que beauté !
Etoile rayonnante entre toutes, tu apportes la lumière.
5. Santéz Anna, inour deoh-hui, ar en douar èl é lein en né,
Inour eué d’ho merh Mari, gwerhiez berped ha Mamm de Zoué.
Sainte Anne, honneur à toi sur la terre comme au ciel,
Honneur aussi à Marie, ta fille, toujours Vierge et Mère de Dieu.
Sainte Anne, ô mère de Marie
Sainte Anne, ô mère de Marie
Sainte Anne, ô mère de Marie,
Conduis nos pas vers Jésus-Christ,
Il est la source de la Vie,
lumière au creux de notre nuit.
1. Tu vois les jeunes, les enfants qui ne savent où tourner les yeux,
Dis-leur que Dieu est père aimant, qu'ils ont un avenir aux Cieux.
2. Regarde les parents inquiets pour leurs enfants qui ne prient plus,
accorde-leur de vivre en paix, pour le Seigneur, rien n'est perdu.
3. Aux grand-parents qui te supplient, accorde paix et espérance,
Après de toi, ils trouvent appui, qu'ils soient toujours dans la confiance.
4. Regarde toutes les familles, accorde-leur toute bonté,
Ecoute celles qui te prient de les garder dans l'unité.
5. Réponds toujours aux cris d'appel des couples qui n'ont pas d'enfant,
Qu'ils puissent vivre ce Noël qui mettra fin à leurs tourment.
Jezus dré er garanté
Jezus dré er garanté
Un cantique eucharistique Breton
Diskañ
Kanamp a vouéh ihuél,
Gloér de Jézus, roué hor halon,
E zichenn 'eidom ken izél.
Chantons à pleine voix,
gloire à Jésus, roi de notre cœur,
qui descend si bas pour nous.
1- Jézus dré er garanté souéhusañ kent ''eit merùel,
E venn rein deomp 'eit magein hon énéan é gorf santél.
Présiuset un donézon !
Jésus, par un amour stupéfiant, avant de mourir,
veut nous donner, pour nourrir notre âme, son corps saint.
Ô don précieux !
2- Én overenn er bara 'zo chañjet é korf Mab-Doué ;
Er gwin e za de vout é wæd sakret é gwirioné.
Doué mem er lar ; taù, me rézon.
Pendant la messe le pain devient corps du Fils de Dieu ;
le vin devient son sang sacré, réellement.
Dieu lui-même le dit, il n'y a pas à raisonner.
3- Sèl gwéh m'en deus er béleg konsakret, o burhud kær !
A-benn éma hor Salvér dichennet àr en aotér.
Sentein e ra doh péherion.
A chaque fois que le prêtre a consacré, ô beau miracle !
aussitôt notre Sauveur est descendu sur l'autel.
Il obéit à des pécheurs.
Da Feiz on tadou kozh, un cantique traditionnel Breton
Da Feiz on tadou kozh
"La Foi de nos ancêtres"
Cantique traditionnel Breton
Diskañ:
Da feiz on tadou kozh ni paotred Breizh-Izel ! Ni 'zahlc'ho mad atao!
'Vid feiz on Tadou kozh hag endro d'he banniel ni holl en-em stardo!
Feiz karet on Tadou! Morse ni n'ho nac'ho !
Kentoc'h ni a varvo ! Kentoc'h ni a varvo ! Kentoc'h ni a varvo !
1.-D'ar chrouadur bihan, e kichennig e gavel!
E lakit eur vamm vad, zn deiz evel an noz!
Er boan hag en añken, hi a daol buan eur zell,
War groaz santel Jezuz, he soñj er baradoz!
2.-D'ar paotr, d'ar plac'h yaouank, c'hwi ziskouez hent ar furnez !
C'hwi lavar: « it gantañ heb krena dirag den!
Bezit tud yaouank Breizh, bezit e-pad ho buhez,
Atao gwir gristenien! Treitourien birviken! »
Traduction
Refrain:
A la foi de nos vieux Pères, nous, enfants de la Bretagne, nous serons toujours fidèles!
Pour la foi de nos vieux pères, autour de cette bannière, nous serons tous unis!
Foi bien aimée de nos pères Jamais, nous vous renierons!
Plutôt mourir! Plutôt mourir! Plutôt mourir!
1.-Du petit enfant, Tout à côté de son berceau !
Que veille une mère de jour comme de nuit !
Dans la peine et l'angoisse, elle jette un rapide regard,
Sur la sainte croix de Jésus, et pense au paradis !
2.-Au garçon et à la jeune fille, vous montrez le chemin de la sagesse !
Vous dites : « Allez avec lui Sans aucune crainte !
Soyez, jeunes de Bretagne, Soyez, votre vie durant,
Toujours de vrais chrétiens ! Jamais des traîtres ! »