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  • La beauté élève l'âme... Par ces images volontairement sélectionnées, ainsi que par la récitation de ces prières, puissiez-vous avoir le désir de parvenir à Jésus et à la sainteté, but ultime de toute vie...
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21 novembre 2013

Retraite de Consécration à la Sainte Trinité par Marie 17/33

Retraite de Consécration à la Sainte Trinité par Marie

33 jours pour se consacrer à la Très Sainte Trinité par les mains de Marie

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Dix-septième jour

Troisième jour dans le Cœur de Jésus

Recouvrement de Jésus au Temple

Consacrer à Marie les absences sensibles de Dieu, les sécheresses

 

Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit. Amen.

 

Invocation au Saint Esprit

 

« Esprit Saint, par le feu que Vous avez allumé en nous, nous prions, nous méditons, et nous faisons pénitence. Nos âmes, si Vous les quittiez, ne pourraient pas vivre davantage que ne feraient nos corps si le soleil s'était éteint. Mon très saint Seigneur et Sanctificateur, tout bien qui existe en moi est à Vous... Si je diffère de Vos saints, c'est parce que je ne demande pas assez ardemment Votre Grâce, ni une grâce assez grande et parce que je ne profite pas diligemment de celle que Vous m'avez donnée. Augmentez en moi cette Grâce de l'Amour, malgré toute mon indignité. Elle est plus précieuse que tout au monde. Je l'accepte en place de tout ce que le monde peut me donner. Oh ! Donnez-la-moi ! Elle est ma vie ! »

(Bienheureux John-Henry Newman)

 

Je crois en Dieu, une dizaine de Chapelet aux intentions de la Sainte Vierge.

 

Parole de Dieu

 

Saint Luc 2, 48-50

 

En voyant Jésus au milieu des docteurs, dans le Temple, ses parents furent stupéfaits, et Sa Mère lui dit : « Mon enfant, pourquoi nous as-Tu fait cela ? Vois comme nous avons souffert en Te cherchant, ton père et Moi ! » Il leur dit : « Comment se fait-il que vous M'ayez cherché ? Ne le saviez-vous pas ? C'est chez Mon Père que Je dois être ». Mais ils ne comprirent pas ce qu'Il leur disait ».

 

Siracide 2, 1-8

 

« Mon enfant, si tu prétends servir le Seigneur, prépare-toi à être mis à l'épreuve. Arme-toi de courage et de résolution, ne sois pas tourmenté, quand la détresse est là. Attache-toi au Seigneur, ne t'en écarte plus ; tu ne pourras qu'y gagner, à la fin de ta vie. Accepte tout ce qui peut t'arriver et montre-toi patient, quand survient l'humiliation. N'oublie pas que l'or est éprouvé au feu ; ceux qui plaisent à Dieu doivent aussi passer au creuset de l'humiliation. Si tu Lui fais confiance, Il te viendra en aide ; suis ton chemin tout droit et espère en Lui. Vous qui reconnaissez l'autorité du Seigneur, comptez sur sa bonté ; ne vous en détournez pas, sinon vous tomberez. Vous qui reconnaissez l'autorité du Seigneur, ayez confiance en Lui ; vous ne risquerez pas de manquer votre récompense ».

 

Saint Marc 15, 33-37

 

« Quand arriva l'heure de midi, il y eut des ténèbres sur toute la terre jusque vers trois heures. Et à trois heures, Jésus cria d'une voix forte : « Éloï, Éloï, lama sabactani ? », ce qui veut dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » Quelques-uns de ceux qui étaient là disaient en l'entendant : « Voilà qu'il appelle le prophète Élie ! » L'un d'eux courut tremper une éponge dans une boisson vinaigrée, il la mit au bout d'un roseau, et il lui donnait à boire, en disant : « Attendez ! Nous verrons bien si Élie vient le descendre de là ! » Mais Jésus, poussant un grand cri, expira ».

 

Message de Marie à Medjugorje du 25 mars 1992

 

« Chers enfants, aujourd'hui comme jamais auparavant, Je vous invite à vivre Mes messages et à les mettre en pratique dans votre vie. Je suis venue chez vous pour vous aider, c'est pourquoi Je vous invite à changer de vie. Vous avez pris un chemin de misère, un chemin de ruine. Quand Je vous ai dit : « Convertissez-vous, priez, jeûnez, réconciliez-vous », vous avez pris ces messages superficiellement. Vous avez commencé à les vivre pour ensuite les abandonner, parce que c'était difficile pour vous. Non, chers enfants ! Quand une chose est bonne vous devez persévérer dans le bien et ne pas penser : « Dieu ne me voit pas, Il ne m'écoute pas, Il ne m'aide pas ». Et ainsi vous vous êtes éloignés de Dieu et de Moi à cause de votre intérêt. Je désirais faire de vous une oasis de Paix, d'Amour et de Bonté. Dieu désirait, par votre amour et avec son aide, que vous fassiez des miracles et ainsi donniez l'exemple. C'est pourquoi, voici ce que Je vous dis : Satan se joue de vous et de vos âmes, et moi, je ne peux pas vous aider parce que vous êtes loin de Mon Cœur. C'est pourquoi priez, vivez mes messages et ainsi vous verrez les miracles de l'Amour de Dieu dans votre vie quotidienne. Merci d'avoir répondu à mon appel ».

 

Méditation

 

« La Vierge exprime une douleur très amère quand Elle dit : « Vois, ton père et Moi nous Te cherchions dans l'angoisse » (Luc 2, 48). Mystiquement, en effet, ce goût est affligeant, amer et exerçant, édifiant pour le développement de l'âme dans une séparation de l'aimé qui vole haut, et de la perte du Bien-Aimé.

Par ce goût amer, l'âme entière, dépendant de Lui, ne peut plus trouver de repos, toujours jalouse par amour de ne pas se séparer par sa faute. Il s'en suit qu'elle court partout, cherchant son Bien-Aimé, et qu'elle réclame à toute créature son aide, pour découvrir Celui que son cœur aime. Cette mère montre que cette douleur a été en elle de façon très vertueuse... Si la Très Sainte Vierge n'a pas manqué d'être exercée en de telles occasions, elle qui dès l'instant de Sa Conception a été entièrement remplie de l'Esprit Saint, c'est pour qu'elle nous soit un exemple que Jésus fit ainsi raisonnablement, désirant qu'elle montre mystiquement combien l'âme fait de progrès dans une telle expérience de douleur de l'absence du Bien-Aimé et de sa recherche inquiète. En effet, c'est avec une douceur toujours plus abondante que le Bien-Aimé revient vers l'âme, si aucune faute de négligence ne la rend indigne ».

(Saint Bernardin de Sienne, cité par Ephraïm dans « Marie Intime »)

 

« Oh ! Ce « pourquoi » d'enfant ! Transpercer le Cœur de Marie, cela convenait à un vieillard, à un prêtre. Mais un enfant, son enfant ! N'oublions pas que cet enfant était un prêtre, beaucoup plus que Siméon ne pouvait l'être, en un sens le seul prêtre, en tout cas, le seul qui l'ait toujours été, qui l'était par la nécessité de son être... « Pourquoi Me cherchiez-vous ? » dit Jésus à Sa Mère dans le Temple. « Pourquoi M'avez-vous abandonné ? » cri-t-Il à Son Père sur l'Autel de la Croix. Ce cri du Calvaire est tellement effrayant que les évangélistes ont hésité à le traduire. Ils nous l'ont livré dans toute la rudesse des syllabes sémitiques : « Lamma sabactani ». Les deux « pourquoi » se correspondent, ils ont l'un et l'autre quelque chose d'insondable, d'incompréhensible... Ce Jésus qui voyait Dieu, qui jouissait de la vision béatifique plus que tous les Saints et tous les Anges ensemble, n'est plus que l'Homme de douleur et d'une telle douleur ! Cependant, je me demande si le « pourquoi » de l'enfant n'est pas aussi effrayant pour nous ».

(Père Dehau, « Eve et Marie)

 

« L'annonce de l'ange à Marie tient dans ces paroles rassurantes : « Sois sans crainte, Marie » et « Rien n'est impossible à Dieu » (Lc 1, 30. 37). En vérité, toute l'existence de la Vierge Mère est enveloppée par la certitude que Dieu est proche d'elle et l'accompagne de sa bienveillante providence. Il en est ainsi de l'Eglise, qui trouve « un refuge » (Ap 12, 6) dans le désert, lieu de l'épreuve mais aussi de la manifestation de l'amour de Dieu envers son peuple (Os 2, 16). Marie est parole vivante de consolation pour l'Eglise dans son combat contre la mort. En nous montrant son Fils, elle nous assure qu'en lui les forces de la mort ont déjà été vaincues : « La mort et la vie s'affrontèrent en un duel prodigieux. Le Maître de la vie mourut ; vivant, il règne ».(Missel Romain, Séquence de la Messe de Pâques) ».

(Bienheureux Jean Paul II, Evangelium Vitae, n°105)

 

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Prières

 

Prière consécratoire

 

Ô Vierge, je Te consacre tous ces moments où je perds Dieu d'une manière visible, sensible, où le sacrifice de Ton Fils me devient étranger. Je me consacre dans Ta Foi et dans Ton Espérance afin que je ne trébuche pas, que je ne m'arrête pas en chemin. Je Te consacre mes sécheresses, mes nuits spirituelles, les moments où je ne sais plus discerner le Corps de Ton Fils dans les Sacrements et dans mes frères et plus particulièrement les plus pauvres. Ô Marie, Notre Dame de l'Effroi, je Te consacre mes angoisses et mes doutes, mes paniques et mes petites morts, je Te consacre l'heure de mon agonie. Ma vie et ma mort T'appartiennent pour que, par elles, Tu honores Ton Fils et Tu glorifies Dieu. Je Te consacre la vie et la mort de mes parents et de mes proches.

 

Antienne

 

Puisque le Roi des Cieux a voulu que sa Mère

Soit plongé dans la nuit, dans l’angoisse du cœur ;

Marie, c’est donc un bien de souffrir sur la terre ?

Oui souffrir en aimant, c’est le plus pur bonheur !…

Tout ce qu’Il m’a donné Jésus peut le reprendre

Dis-lui de ne jamais se gêner avec moi…

Il peut bien se cacher, je consens à l’attendre

Jusqu’au jour sans couchant où s’éteindra ma foi…

(Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, Poésie « Pourquoi je t'aime, ô Marie »)

 

Psaume 22 (21)

 

Mon Dieu, mon Dieu,

pourquoi m'as-tu abandonné ?

Loin de mon salut et des paroles que je rugis ?

Mon Dieu, je crie de jour, et tu ne réponds pas,

de nuit, et pas de silence pour moi.

 

Mais Toi, tu es saint,

tu qui habites les louanges d'Israël.

En toi se fièrent nos pères,

ils se fièrent en Toi et tu les délivras.

Vers Toi ils crièrent et furent sauvés,

ils se fièrent en Toi et ne furent pas en honte.

 

Moi, moi je suis un ver et non pas un homme,

un dégoût pour les humains, le mépris du peuple.

Tous ceux qui me voient se moquent de moi,

ils grimacent de la lèvre, ils hochent la tête.

« Ils espère en Dieu ? Qu'il le délivre donc !

Et qu'il le secoure, puisqu'il l'aime ! »

Oui, c'est toi qui m'as tiré du ventre,

qui me donne confiance

sur les seins de ma mère.

Sur toi j'ai été jeté au sortir de la matrice,

dès le ventre de ma mère, mon Dieu c'est toi.

Ne t'éloigne pas de moi :

oui, l'angoisse m'approche et aucune aide !

 

De nombreux taureaux me cernent,

les bêtes énormes de Basan m'encerclent.

Ils ouvrent contre moi leur gueule,

un lion qui déchire et rugit.

 

Je me répands comme de l'eau

et tous mes os se disloquent,

mon cœur est comme de la cire,

il fond dans mes viscères.

 

Ma force se dessèche comme un tesson d'argile

et la langue me colle aux mâchoires,

tu me couches dans la poussière de la mort.

 

Oui, les chiens m'entourent,

une bande de malfaiteurs m'encercle,

comme un lion autour de mes mains et mes pieds.

 

je peux compter tous mes os !

Eux, ils regardent, ils me voient.

Ils se partagent mes habits,

ils tirent au sort mon vêtement.

 

Et toi, Seigneur, ne t'éloigne pas !

Ô ma force, vite à mon aide !

Délivre mon âme du glaive,

de la patte du chien, mon unique !

Sauve-moi de la gueule du lion,

des cornes des taureaux ; oui Tu m'as répondu.

 

Je proclamerai ton nom à mes frères,

au milieu de la grande assemblée, je te louerai.

Vous qui le Seigneur, louez le,

 

Toute la descendants de Jacob, glorifiez-le,

frémissez devant Lui,

vous toute la descendance d'Israël.

Car il ne méprise pas,

ne repousse pas l'humiliation du pauvre, il ne lui cache pas sa face,

il écoute son cri.

 

De toi vient ma louange

dans la grande assemblée,

j'accomplirai mes vœux

devant ceux qui le craignent.

Les pauvres mangeront et seront rassasiés,

louez le Seigneur, vous qui le cherchez,

que vive votre cœur à jamais !

 

Toutes les extrémités de la terre se souviendront,

et reviendront au Seigneur,

toutes les familles de nations

se prosterneront devant Toi.

Car la royauté est au Seigneur,

le maître des nations.

Les repus de la terre mangent,

mais ils se prosterneront ;

devant lui se courberont tous ceux qui descendent

à la poussière,

ce qui ne peuvent faire revivre leur âme.

 

Une descendance le servira ;

on annoncera Adonaï aux générations à venir.

Ils viendront, ils raconteront au peuple naissant

la justice qu'il a opérée.

 

Prière « Ad Libitum » : Priez Marie avec un texte de votre choix comme par exemple les Litanies, le Souvenez-vous, ou encore une oraison jaillie du cœur...

Invocation : O Marie Reine de la Paix et de la Réconciliation, priez pour nous et pour le monde ».

 

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Textes extraits du livre « Retraite de Consécration à la Sainte Trinité par Marie », aux Editions des Béatitudes, pour commander le livre, cliquer ICI

 

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